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  • Auteurs: Ernest Richard
  • Auteurs: Pierre Lamblin
Jacques Rogy entre en scène - Pierre Lamblin - Collection Spirale N° 331
  • Nouveau

N° 331 - Jacques Rogy entre en scène (Pierre Lamblin)

5,95 €
Un mystérieux individu débarque un jour à La Bégule. Il dévoile à Marc, dit « Marquis », le fils de l'aubergiste du « Lion d'Or », qu'il est journaliste et lancé sur la piste de voleurs de tableaux. Le garçon pourrait-il l'aider discrètement à mener son enquête ?… Comment il sera prouvé que le journaliste n'est pas qui l'on pense, comment Marc échappera à un guet-apens, comment Jacques Rogy, aidé des gamins du village, fera la conquête d'un comte misanthrope, comment enfin seront découverts les fameux tableaux, au cours d'un mémorable combat… c'est ce qu'on apprendra en lisant ce livre.
Jacques Rogy se jette dans la gueule du loup (Pierre Lamblin) - Collection Spirale N° 3.471

N° 3.471 - Jacques Rogy se jette dans la gueule du loup (Pierre Lamblin)

4,94 €
Ces nouvelles aventures de Jacques Rogy ont été déclenchées par sa précédente enquête publiée sous le titre : Jacques Rogy épaule les Incorruptibles. Le grand reporter avait, en effet, dénoncé un trafic scandaleux d'alcool et de drogues dont de méprisables et puissants personnages tiraient des bénéfices monstrueux. Mais le gang international auquel le courageux journaliste déclarait une guerre impitoyable a juré la perte de cet ennemi trop habile. Jacques Rogy se jette dans la gueule du loup raconte l'incroyable lutte d'un homme déterminé, et lui-même incorruptible, contre une bande de farouches adversaires. Ce matin-là, un paquet piégé se trouvait dans le courrier du reporter du Clairon !…
Puisque tu me fuis... (Ernest Richard) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1188

N° 1188 - Puisque tu me fuis... (Ernest Richard)

3,74 €
Extrait : Dans les salons de l'Hôtel Impéria, le Comité général des Armateurs donnait, cette nuit-là, son grand bal annuel. Tout ce que le port de Rouen comptait de notabilités, haut commerce, haute industrie, armée, magistrature et arts, avait tenu à figurer dans cette assemblée extrêmement brillante. Deux jazz, secondés d'orchestres tango-rumba, alternaient à chaque coin de l'immense pièce où chatoyaient uniformes et toilettes… Au brouhaha discret des soirées de bonne compagnie, les arrivants tardifs devinaient en entrant qu'on atteignait à l'instant où, de l'apparat guindé du début, la fête passe à la gaieté aimable qui ne doit plus l'abandonner avant l'aube. On venait de distribuer les cotillons, amusant épisode qui permet au plus grave des capitaines de vaisseau ou colonels en retraite, au plus austère président de cour d'assises d'arborer sans rougir un casque de pompier à moins que ce ne soit un polo de groom !…
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