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  • Auteurs: Georges Chaulet
  • Auteurs: R. et R. Borel-Rosny

N° 307 - Le bathyscaphe d'or (Georges Chaulet)

7,50 €
Le bathyscaphe d'or a disparu ! Dans le port espagnol de Santander, le prodigieux Neptune conçu par le commandant Croisic fait une démonstration de plongée sous-marine. Puis... on ne le voit plus ! Pepito, un jeune mécanicien qui rêve de devenir journaliste, va profiter de cet événement pour faire un reportage. Ah ! s'il pouvait le retrouver, ce bathyscaphe... quel merveilleux sujet d'article ! Mais où chercher ? L'Océan est immense ! C'est alors que Pepito a une idée... Au-delà de 10 ans.

Fantômette contre la main jaune (Georges Chaulet)

2,15 €
En plein jour, un grand bateau s'engage dans le golfe de Terrifio. Cinq minutes plus tard, il a disparu. Que s'est-il passé ? Fantômette doit trouver la solution de cet incompréhensible tour de prestidigitation… tout en échappant aux pièges mortels que lui tend la terrible Sulfura. Mais au fait, qu'est-ce que la Sulfura ? A toi de jouer, Fantômette !

C'est quelqu'un Fantômette ! (Georges Chaulet)

2,56 €
« Allô ! Fantômette ? J'ai besoin de vous ! » Au bout du fil, Arthur Arthur, chef du grand parti F.I.L.O.U., se fait impérieux. Il veut ab-so-lu-ment le concours de la jeune aventurière. Bien entendu, elle refuse. Fantômette ne va tout de même pas se mêler de politique ! Arthur Arthur insiste. Promesses, cadeaux, menaces, enlèvement : tout lui est bon pour contraindre la brillante détective à accepter cette mission. Et voilà Fantômette dans un château de Bretagne, occupée, bien malgré elle, à démêler un incroyable embrouillamini : les manœuvres du parti adverse, la disparition d'un précieux parchemin, les menées d'un réseau d'espionnage, sans parler de chevaliers fantômes qui hantent la forêt de Brocéliande ! Résultat inespéré… Ah ! c'est quelqu'un, Fantômette !

N° 1706 - Échec au mariage (R. et R. Borel-Rosny)

3,05 €
Extrait : Le soleil s'attardait. Il faisait encore très chaud et les gens sur les boulevards presque déserts marchaient très lentement. C'était tout à fait inaccoutumé, mais on était en période de vacances. D'un air morne, traînant les pieds, Sylvie s'accrochait désespérément au bras de Michel. Une toute petite femme aux cheveux d'un blond si pâle qu'ils en paraissaient presque blancs. Ce teint frais, cette silhouette fine, ces jambes minces, joliment galbées, qu'une robe un peu trop courte laisse deviner tout entières, attirent et retiennent le regard des passants plus sûrement que ne pourrait le faire avec mille artifices, la plus rouée des coquettes. Le garçon est très brun, fort et souple. Parfois, en le croisant, une fille lui sourit par-dessus son épaule, malgré la présence de Sylvie et il se redresse, bombant le torse. C'est un fort beau gars. Depuis qu'il est venu la chercher à la sortie de l'atelier de la rue des Capucines, Sylvie n'a rien dit. Absolument pas ouvert la bouche. — Eh bien ! dit-il tout à coup avec nervosité. Qu'a dit le toubib ? Sylvie haussa les épaules sans répondre. — Eh bien ! quoi ? Parle au moins, au lieu de rester comme une bûche. C'est ça ? Elle leva les yeux très bleus, un peu voilés, vers lui. Il détourna les siens. Trop d'innocence et d'infini dans ces yeux-là… Seigneur ! Que faire de cette petite ?…
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