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  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Rachael Thomas
  • Auteurs: Saint-Avit

N° 3853 - L'héritage des Di Sione T3 : Un rival irrésistible (Rachael Thomas)

2,98 €
Une puissante dynastie bouleversée par l'amour  Bianca Di Sione en reste sans voix : le propriétaire du précieux bracelet qu’elle doit récupérer pour son grand-père n’est autre que Liev Dragunov, l’homme qu’elle a repoussé une semaine plus tôt ! Hasard ou coup monté ? Pour Bianca, la question ne se pose pas, car la réputation d’homme perfide du milliardaire russe le précède. Seulement, s’il pense pouvoir se jouer d’elle si ouvertement, il se trompe du tout au tout : Bianca n’est pas le genre de femme à baisser les bras devant un défi. Surtout aussi irrésistible…

Bonheur à tous les étages (Saint-Avit)

2,54 €
Extrait : Comme le serpent tentateur, la pomme, le crémier offre un coeur de laitue. — Ne vous faut-il rien d'autre ? Pas même cette petite salade ? Scrutant sa liste d'un air absorbé, Jo hoche négativement la tête : — Je ne vois pas… Un camembert pour les Volt, le vin du Sire, trois yaourts pour Madeleine, des madeleines pour Laurent… — Les pommes de terre, rappelle le crémier. — … et les oranges de Tony. Je pense que c'est tout… Donnez-moi quand même la salade. Eve a succombé. — A ta place, je prendrais aussi une tranche de pâté, conseille un tout petit garçon, planté à côté d'elle. Si vous avez faim cette nuit… D'un signe, la jeune fille acquiesce. Laurent a raison, si « les garçons » réclament des sandwiches, la charcuterie sera plus utile que la salade…

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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