Accueil

Accueil

Il y a 5 produits.

Affichage 1-5 de 5 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Camille Arnold
  • Auteurs: Rachael Thomas
  • Auteurs: Stew Patrikian

Bloodline T1 : Lune rouge (Alberto Varanda, Stew Patrikian)

6,90 €
Kevin et Lauren sont deux adolescents que rien ne différencie des autres enfants de leur âge, jusqu'à un soir d'octobre où tout bascule : des tueurs à gages font irruption chez eux et massacrent toute leur famille. Seuls points de repère pour les enquêteurs, un crime similaire perpétré en Italie quelques semaines plus tôt, et le cadavre d'un des tueurs retrouvé sur les lieux… Publié en noir et blanc dans le cadre de la collection Global, Bloodline est aujourd'hui édité sous forme d'album couleurs de 48 pages. Cette nouvelle présentation permettra au grand public de découvrir ce thriller passionnant.

N° 1676 - La clause secrète (Camille Arnold)

2,92 €
Extrait : Jacqueline repoussa lentement le tiroir du classeur dont le carton vert était déchiré, après y avoir rangé la traite des établissements Phalippou et Fils… Elle était lasse. Non pas lasse de trop travailler — son emploi de dactylo-facturière chez Fradet , « couverture, plomberie, sanitaire », n'était pas harassant ! — mais, au contraire, de faire un travail monotone et ennuyeux auquel elle ne parvenait pas à s'intéresser. Tandis qu'elle cherchait dans une boîte déglinguée un morceau de sparadrap pour arranger tant bien que mal le tiroir défaillant, elle regardait du coin de l'oeil, avec une sorte d'envie, le comptable, M. Plumet…

N° 3853 - L'héritage des Di Sione T3 : Un rival irrésistible (Rachael Thomas)

2,98 €
Une puissante dynastie bouleversée par l'amour  Bianca Di Sione en reste sans voix : le propriétaire du précieux bracelet qu’elle doit récupérer pour son grand-père n’est autre que Liev Dragunov, l’homme qu’elle a repoussé une semaine plus tôt ! Hasard ou coup monté ? Pour Bianca, la question ne se pose pas, car la réputation d’homme perfide du milliardaire russe le précède. Seulement, s’il pense pouvoir se jouer d’elle si ouvertement, il se trompe du tout au tout : Bianca n’est pas le genre de femme à baisser les bras devant un défi. Surtout aussi irrésistible…

N° 1704 - Au bord de l'abîme (Camille Arnold)

3,74 €
Extrait : Gustave Herbelot reposa le vase de Sèvres dont, machinalement, il avait regardé la marque. On aurait dit qu'il faisait, sans y songer, l'inventaire de ce qu'avait laissé, en mourant, Suzanne Teyssière. De tous les bibelots qui ornaient ce salon, le plus ravissant était sans conteste Odile devant qui Gustave vint se planter, les mains aux poches : — Alors, petite ? Nous sommes d'accord ? La jeune fille leva vers lui un regard craintif : — Il le faut bien, tonton. Elle n'était pas sa nièce, mais celle de sa femme, Fernande, qui était morte deux ans plus tôt. Décidément, on ne vivait pas vieux, chez les Guitton : les deux soeurs, Fernande et Suzanne, avaient été orphelines de bonne heure. Puis Fernande était morte à trente-huit ans et voici que Suzanne venait à son tour d'être emportée en quelques jours par une angine de poitrine. Il restait à Gustave, en tout de sa belle famille, cette nièce de dix-sept ans dont il avait été désigné le tuteur…

N° 1567 - L'inutile sacrifice (Camille Arnold)

3,05 €
Extrait : Chaque fois que Madeleine entend l'ascenseur se mettre en marche les aiguilles de son tricot s'immobilisent et elle suspend presque son souffle pour tendre l'oreille. Est-ce lui, cette fois ? Non, l'arrêt se fait à un autre étage... et elle en est, à la fois, déçue et contente : déçue, parce qu'elle languit que Claude soit rentrée... et contente, parce qu'elle pourra faire encore quelques « rangs » de plus à son pull-over. Comment sera-t-il ce soir ? Ne sera-t-il pas trop fatigué par le métro et ses bousculades aux heures de « pointe », ses innombrables escaliers de correspondance ? Ne sera-t-il pas trop énervé par les leçons données à des aspirantes-pianistes qui n'ont pas la moindre disposition pour la musique mais qui, avant de savoir faire une gamme, sont impatientes de pouvoir jouer Tristesse de Chopin à leur première réception ? Ne sera-t-il pas trop démoralisé par une entrevue avec quelque directeur de théâtre ou quelque éditeur qui, après lui avoir prodigué de grandes louanges pour ses oeuvres, se sera répandu en soupirs pour se plaindre de la crise, des frais chaque jour plus lourds qui l'obligent à « ne miser que sur des noms connus du public »…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire