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  • Auteurs: Marie de Wailly
  • Auteurs: Renée Manière

N° 163 - La petite fille des bois perdus (Renée Manière)

6,42 €
Fille d'un garde forestier, la petite Nane grandit parmi les canards sauvages, les biches et les lapins de garenne qui s'ébattent en liberté dans les bois appartenant à sa marraine, la jeune, douce et charmante Annie. Mais un jour, une pancarte clouée sur un arbre, en bordure de la route, intrigue et inquiète la fillette. Elle y déchiffre ces mots : Chasse à Louer…

N° 437 - Mario, le fils du vent (Renée Manière)

3,90 €
Maître Laurent, manadier de Camargue, recueille un bébé gitan qu'il nomme Mario et l'élève avec son propre fils aveugle, Pol. Mario, en grandissant, est tenaillé par le désir ancestral de fuir au-delà de l'horizon… La découverte d'une île secrète, et surtout Ombre, le petit taureau qu'il parvient à sauver à force d'amour et de patience, feront-ils de ce « fils du vent » un vrai gardian et l'attacheront-ils à la terre camarguaise ?

N° 42 - Vers l'amour... (Marie de Wailly)

6,00 €
Extrait : Une foule énorme se portait vers l'aérodrome du Bourget. Les taxis et les autocars, bondés à craquer, déversaient leurs grappes humaines au milieu de la cohue et la foule, heurtée, bousculée, riait sans une parole de mauvaise humeur, sans un geste de colère, heureuse, exubérante, ne songeant qu'à une seule chose : avancer… se bien placer… Un cordon de police, constitué par un régiment d'aviation, la repoussait doucement mais elle revenait à la charge avec tant de gaîté, tant d'entrain que les soldats souriants cédaient un peu de terrain et des voix perçantes de femmes criaient : — Bravo… vive l'armée !… A ces cris isolés s'en joignait un autre unanime, vibrant, formidable : — Vive Pierre Defresne !… C'était le héros attendu… l'as… l'enfant chéri du public…

N° 22 - Au coeur profond de la forêt (Marie de Wailly)

9,00 €
Extrait préface : Il y avait une fois, une immense étendue boisée qu'on appelait : la Forêt d'Argent. La brise la plus légère faisait frissonner le feuillage de ses trembles ; ses saules au duvet pâle et soyeux se miraient dans l'eau limpide des sources et ses bouleaux, à la blanche écorce brillante, élevaient leur tête altière vers le ciel. La Forêt d'Argent couvrait tout un coteau montant de la plaine et retournant à la vallée. A son sommet le plus escarpé se dressaient de très hauts murs de pierre grise que la végétation grimpante et luxuriante des grands bois avait pris d'assaut. Leur air rébarbatif se cachait derrière le sourire vert des feuilles et l'appel timide des fleurs. Si, trompé par leur joliesse mutine et la douceur grave de leur vêtement, on voulait connaître leur secret, on se heurtait à une porte aux épaisses ferrures, aux panneaux hérissés de clous, à la lourde serrure. Un judas minuscule permettait de parlementer de l'intérieur. Une chaîne, de la grosseur du poignet, pendait à droite de la porte dans une niche de pierre encapuchonnée de verdure. Cette chaîne était attachée à une cloche de bronze dont chaque vibration réveillait les échos endormis de la Forêt d'Argent…
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