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  • Auteurs: René-Paul Noël
  • Auteurs: Renée Manière

N° 163 - La petite fille des bois perdus (Renée Manière)

6,42 €
Fille d'un garde forestier, la petite Nane grandit parmi les canards sauvages, les biches et les lapins de garenne qui s'ébattent en liberté dans les bois appartenant à sa marraine, la jeune, douce et charmante Annie. Mais un jour, une pancarte clouée sur un arbre, en bordure de la route, intrigue et inquiète la fillette. Elle y déchiffre ces mots : Chasse à Louer…

N° 437 - Mario, le fils du vent (Renée Manière)

3,90 €
Maître Laurent, manadier de Camargue, recueille un bébé gitan qu'il nomme Mario et l'élève avec son propre fils aveugle, Pol. Mario, en grandissant, est tenaillé par le désir ancestral de fuir au-delà de l'horizon… La découverte d'une île secrète, et surtout Ombre, le petit taureau qu'il parvient à sauver à force d'amour et de patience, feront-ils de ce « fils du vent » un vrai gardian et l'attacheront-ils à la terre camarguaise ?

N° 1644 - On peut rêver d'amour (René-Paul Noël)

4,92 €
Extrait : Quelqu'un dit : — C'est scandaleux !  Mais on ne l'écoutait pas. Sur le quai de la gare, un employé s'avançait et la foule des voyageurs bloqués à Saint-Sulpice se porta à sa rencontre dans un mouvement impétueux. Le cheminot ouvrit les bras d'un air désappointé : — Je vous en prie… On vient de me téléphoner : les dépôts sont en grève, aucune machine ne peut sortir. …

N° 1654 - Rendez-moi mon enfant (René-Paul Noël)

6,00 €
Extrait : Myrtille Lacaule s'était adossé à la cheminée et, le visage crispé, elle suivait le manège de Deschamps présentant Simone à ses amis. Mais quoi que fasse Myrtille, son regard revenait se poser sur sa rivale ! Ainsi c'était là la jeune fille qui lui avait ravi l'amour de Pierre. Avec la sévérité d'une femme jalouse, elle la jugeait insignifiante et fade…

N° 1715 - Fille du Canada (René-Paul Noël)

4,50 €
Extrait : Les chevaux étaient rassemblés dans un vaste enclos de perches, près d'un village dont on apercevait les fumées par-dessus le petit rideau de trembles. La journée était précieuse comme une opale. Des paysans endimanchés, Canadiens français ou Irlandais, se pressaient sur la place du marché. Des gosses criaient, des chiens aboyaient et le crincrin d'un violon rythmant une clogg-dance mettait sur le tout une joyeuse atmosphère de Kermesse. Jean Leclerc avait pris le bras de Pierre Daix, son vieux copain retrouvé. La bière et le Whisky aidant, les jeunes gens, entre deux éclats de rire, cédaient à l'attendrissement et évoquaient leur jeunesse — pas si lointaine ! — avec des : « Te souviens-tu… » qui introduisaient, dans leur conversation, un peu de la mélancolie des choses fanées. La foule s'ouvrait sur leur passage. Ce qui attirait surtout l'attention sur le couple, c'était le vêtement de Jean Leclerc, anachronique comme un gibus à la vitrine d'un chapelier. Les gosses, bouche bée, lui faisaient une escorte discrète, les jeunes  filles le regardaient avec une inlassable curiosité…
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