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  • Auteurs: Léopold Remon
  • Auteurs: Thérésa Charles

N° 1428 - Un choix déchirant (Theresa Charles)

2,56 €
Rosamund est jolie et intelligente, elle a vingt ans, mais son coeur est encore celui d'une enfant qui ne s'est pas consolée de la mort de son père. Le trop séduisant Norrey l'a déçue et c'est à la tendresse protectrice de Hugo qu'elle va répondre. Elle est prête à épouser cet homme grave et bon, resté veuf avec deux « petites filles » qu'il adore. Invitée dans la famille de Hugo, Rosamund découvre avec effroi deux adolescentes... qui lui sont farouchement hostiles. Et que doit-elle penser de Lincoln Fernleigh, le déconcertant neveu de Hugo ? Tantôt charmeur, tantôt méprisant, quel jeu joue-t-il avec Rosamund ?

N° 3223 - Les rebelles de Saint-Chad d'après le roman de Thérésa Charles

3,75 €
A l'hôpital de Saint-Chad, dans le sud-ouest de l'Angleterre, Inez Raine est responsable du petit monde turbulent des infirmières de la maternité. Billie, la fille de vieux amis de ses parents, vient justement d'être engagée. Un jeune chirurgien d'avenir, Sean O'Halloran, l'y a précédée. Billie a connu ce rebelle idéaliste et passionné au Canada, où ils ont fait tous les deux leurs études. Ils se sont aimés à la folie. Pourquoi tient-il donc maintenant à s'éloigner d'elle ? Billie est déchirée entre l'amour de Sean et la compassion pour le docteur Denye, dont la femme vient de mourir tragiquement. Elle l'est tout autant devant les misères qu'elle voit à la maternité : une jeune femme étrange surtout l'intrigue : Léna Hickory, une mère célibataire qu'un mystérieux inconnu a tenté d'empoisonner. Le frère ou l'épouse jalouse ? Mais rien ni personne ne peut demeurer longtemps caché dans une petite bourgade. Des liens invisibles relient les êtes entre eux, fût-ce à leur insu. Ce sont ces jeux apparemment hasardeux de la vie que décrit Theresa Charles dans LES REBELLES DE SAINT-CHAD avec son talent riche de psychologie et de réalisme profondément humain.

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
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