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  • Auteurs: Léopold Remon
  • Auteurs: Victoria Dahl
La famille York T1 : Coeur rebelle (Victoria Dahl) - Milady Romance
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La famille York T1 : Coeur rebelle (Victoria Dahl)

3,74 €
Une histoire d'amour sensuelle et passionnée. Marissa doit se fiancer pour éviter le déshonneur. Jude Bertrand, un homme mystérieux à la réputation sulfureuse, se propose de l’épouser. Il n’est pas du goût de la jeune fille qui le trouve laid ; et surtout, impossible de le mener par le bout du nez : c’est un fauve rusé, une force de la nature. Jude, quant à lui, a très bien cerné Marissa et il est peut-être le seul à l’aimer vraiment pour ce qu’elle est : un cœur rebelle, comme le sien. La jeune femme finira-t-elle par accepter ce mariage ?

Les Huntington T3 : Les amants égarés (Victoria Dahl)

3,74 €
Une formidable histoire d'amitié et de sensualité. Même s’il a surpris sa fiancée dans les bras d’un autre, Nicholas, vicomte Lancaster, doit l’épouser. La bienséance – et sa fragile situation financière – l’exigent. Cependant, lors d’une visite dans son domaine à la campagne, il croit apercevoir son amie d’enfance, Cynthia Merrithorpe, devenue une jeune femme au charme irrésistible. Cynthia est pourtant portée disparue depuis des semaines, mais son image hante le jeune homme, et l’entraîne dans un voyage sensuel. Ensemble, ils défient les conventions et découvrent la véritable essence du désir…

Les Huntington T2 : Leçons de Libertinage (Victoria Dahl)

3,74 €
Une délicieuse immersion dans les jeux de l'amour et du hasard. Londres, 1844. Fille d’un hobereau libertin, Emma Jensen a gardé de son enfance passée au milieu des parties de cartes le goût des paris risqués. Sans un sou en poche, cette ravissante jeune femme devient l’égérie d’une noblesse londonienne éprise de jeux de hasard. Emma sévit sous le nom de lady Denmore, veuve au passé trouble, ne reculant devant aucun scandale. Conquis par cette beauté au tempérament de feu, l’ombrageux duc de Somerhart, aristocrate solitaire, n’est pas au bout de ses peines.

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
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