Ferenczi & Fils

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  • Auteurs: Luce Orsydiane
  • Auteurs: Léo Gestelys

N° 1269 - La vie cruelle (Léo Gestelys)

3,56 €
Extrait : D'un pas alerte, Edouard de Fontelles montait le boulevard Saint-Michel, le « Boul' Mich' », comme il avait coutume de dire à l'époque pas très lointaine où sa jeunesse studieuse s'écoulait devant cet horizon borné dont la Faculté de Médecine et celle de Droit semblent être les pôles tandis que l'austère Sorbonne en demeure le coeur. …

N° 2002 - Jeunes illusions (Luce Orsydiane)

3,74 €
Extrait : Un rideau se souleva, imperceptiblement : — Tiens ! Regarde ! La v'là, la « Parisienne » ! Une bonne, brave femme, aux cheveux gris, en robe de laine noire et « palatine » tricotée, quitta vivement le fourneau où mitonnait le repas du soir, et accourut à la fenêtre de la « salle du devant », qui donnait sur la petite place du bourg de Sartainville. Da large figure rougeaude prit un air de curiosité intense mêlée d'un peu de compassion, tandis que celle de sa soeur, plus jeune, plus revêche, semblait exulter : — C'est pas à demander quelle vie elle faisait dans la capitale ! Et, ce qu'elle est venue chercher à Sartainville, ça ne se demande pas non plus ! Un coup d'oeil suffit ! Et je parierais bien qu'elle n'a pas d'anneau de mariage au doigt, ou bien que, si elle en porte un, c'est pour tromper le monde. C'est égal, sortir par un temps pareil, et dans un tel état, il faut vraiment qu'elle soit folle ! s'exclama la jeune soeur…

N° 1224 - La découverte de l'amour (Léo Gestelys)

3,05 €
Extrait : — Je vous remercie, ma chère nièce, d'avoir pris la peine de venir me chercher dans ma retraite et de m'avoir proposé ce moyen de locomotion incontestablement pratique lorsque le temps presse. Non que j'éprouve un réel penchant pour ces dangereuses mécaniques. Au moins, vous me répondez de votre chauffeur ? Il ne se livrera pas à des excès de vitesse ? — Mais non, ma bonne tante, une honnête soixante à l'heure. — Je préfèrerais du vingt ou du vingt-deux, ce que faisait, dans sa jeunesse, la superbe jument alezane de mon regretté père. — Je vous assure, ma tante, Robert est la prudence même ; jamais il ne lui est arrivé le plus petit accident ; mais je ne vois pas Sylvie, ses préparatifs ne sont donc pas encore terminés ? — Ses préparatifs ? Voudriez-vous insinuer que Sylvie puisse être du voyage ? — Il me semblait que vous ne vous sépariez jamais de votre jeune pupille…
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