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  • Auteurs: Charles Exbrayat
  • Auteurs: Philippine Terris

N° 3090 - Le château des amours mortes d'après le roman de Charles Exbrayat

2,90 €
Extrait : Le collège de Saint-Fortunat, situé sur la rive droite du Rhône, jouit d'une réputation assurée parmi la bourgeoisie ardéchoise. Le collège est composé de bâtiments austères qu'égaie un très beau parc. Parmi les professeurs, le plus populaire est sans aucun doute Horace de la Rabatelière, qui enseigne le français dans les classes terminales. Un joli garçon de vingt-six ans, élégant…

N° 3082 - Les Dames du Creusot d'après le roman de Charles Exbrayat

2,90 €
Extrait : Chaque matin, vers dix heures, Gaston Moloy, directeur de « L'Eveil », l'un des plus grands quotidiens de la région lyonnaise, recevait ses collaborateurs. Ce jour-là, la réunion s'achevait lorsque le chef de la rubrique judiciaire demanda conseil en ce qui concernait l'affaire du Creusot. — Quelle affaire ? — Il y a quelques jours, un gosse a été écrasé dans la rue…

N° 3076 - Pour Belinda d'après le roman de Charles Exbrayat

2,90 €
Pour Belinda d'après le roman policier de Charles Exbrayat Extrait : Ils se sont tous tournés vers moi pour guetter ma réaction. Je me suis contenté de chercher des yeux Cyrus, puis j'ai pris mon chapeau, et je suis sorti sans un mot. Dehors, Cyrus m'attendait et je lui ai longuement serré la main : — Vous allez… là-bas ?… demanda-t-il. On ne vous aime guère dans ce coin-là : prenez garde, Bert ! — Je m'en moque… — J'attends ici votre retour… dit Cyrus…

N° 3417 - Mensonge et passion (Philippine Terris)

3,75 €
Mensonge et passion Un roman inédit de Philippine Terris Extrait : J'eus un soupir exaspéré et, pendant une seconde, je crus que j'allais me jeter sur la toile, pour la lacérer. Je me contentai d'essuyer mon pinceau soigneusement. Par les vitres de l'atelier, une blafarde lumière d'hiver tombait sur le tableau que j'étais en train de peindre. Le costume de l'homme en rouge paraissait plus éclatant et plus pâle, son visage anguleux : — Mais les yeux… Je n'arrive pas à peindre les yeux… Et j'arrachai ma blouse, à grands gestes impatients. J'avais mal à la tête, une subite envie de pleurer. Il est terrible d'essayer de traduire en formes, en couleurs, ce qui est le reflet mouvant de votre imagination.. — Quelquefois, c'est même impossible, murmurai-je. Je détournai le regard de l'homme en rouge. Je finirais par le détester, ce visage sans regard, dont la bouche souriait, dédaigneuse…
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