Les esclaves hébreux qui travaillent pour le pharaon ne peuvent espérer une vie meilleure. Au début, ils n'ont pas confiance en Moïse : après tout, il est prince d'Egypte ! Mais avec l'aide de Dieu, il gagne leur confiance et les conduit enfin vers la liberté !
« Victoria regarda le calendrier. On était le 15 juin. Le lendemain, le 16 juin, c'était son anniversaire. Elle avait été si occupée les jours précédents qu'elle n'avait pas eu le temps d'y penser. Mais il ne restait plus qu'un jour. Victoria se dit qu'il était temps d'inviter tous ses amis de la Grande Forêt à venir fêter son anniversaire. La première chose à faire, se dit-elle, était de préparer un grand gâteau d'anniversaire. Elle alla dans la petite pièce où elle gardait ses provisions et elle y prit des oeufs, de la farine, du sucre, du beurre et des cerises confites… »
Moi, c'est Toto ! Tu me connais sûrement, je suis installé au fond de la classe, près du radiateur. Mais pour de vrai, je passe plus de temps dans le bureau du directeur. Il me met dans un coin, et il m'oblige à rien faire. Ça tombe bien, ce que je préfère, c'est rien faire ! À partir de 7 ans.
La maîtresse demande : — Toto, avoue que ton père t'a aidé à faire ton devoir ! — NON ! M'dame, je vous jure ! — Sûr ? — Ah ça, j'en suis sûr. Il l'a fait tout seul… (Extrait P.10) — Toto, tes idées sont comme des diamants… — Vous voulez dire qu'elles sont brillantes, maîtresse ? — Non… qu'elles sont si rares…(Extrait P.50)
Comme chaque soir, papa s'affaire dans la cuisine quand soudain… Bon sang ! Plus de pain ! Encore un coup des souris. Tiens, Poucet, voilà un euro pour acheter du pain. Fais bien attention, c'est de l'argent. Tu demanderas «une baguette moulée, pas trop cuite»… Telle est la première mission confiée à Poucet. Mais attention : la boulangerie, ce n’est pas une mince affaire !
— Bonjour, Monsieur le Directeur, Toto est très malade, il ne pourra pas venir à l'école ! — Mais qui appelle ? — Euh, c'est mon papa ! (P.40) Dans le train, un vieux monsieur vient s'asseoir à côté de Toto : — Bonjour jeune homme, je vais à Chartres. Comment saurai-je quand nous arriverons ? — Pas de soucis, M'sieur. Surveillez-moi attentivement et descendez à la station juste avant moi ! (P.20)