Le papa policier de Rufus est venu à l'école donner une leçon de code de la route à tous les enfants. Sur leurs petits vélos, Nicolas et ses copains sont surexcités ! Pour les jeunes apprentis lecteurs.
Le Petit nicolas d'après l'oeuvre de René Goscinny et Jean-Jacques Sempé, adaptée pour la télévision.
M. Blédurt, le voisin, s'est acheté une caméra. Il a promis à Nicolas de tourner avec lui un film de pirates. Sauf qu'il ne s'attendait pas à voir débarquer tous les copains ! Branle-bas de combat ! Nicolas et sa bande partent à l'abordage ! Pour les jeunes apprentis lecteurs.
Le Petit nicolas d'après l'oeuvre de René Goscinny et Jean-Jacques Sempé, adaptée pour la télévision.
Titoune est un petit clown pas plus haut que trois pommes. Il s'ennuie dans le cirque Asdepic, car tout le monde se moque de sa petite taille. Un jour, découragé et malheureux, il quitte le cirque, fait la connaissance de nombreux animaux et, après bien des péripéties, forme le célèbre cirque Boum qui va sillonner les routes du monde entier. Pour les enfants de 5 à 9 ans.
Moi, c'est Toto ! Tu me connais sûrement, je suis installé au fond de la classe, près du radiateur. Mais pour de vrai, je passe plus de temps dans le bureau du directeur. Il me met dans un coin, et il m'oblige à rien faire. Ça tombe bien, ce que je préfère, c'est rien faire ! À partir de 7 ans.
La maîtresse demande : — Toto, avoue que ton père t'a aidé à faire ton devoir ! — NON ! M'dame, je vous jure ! — Sûr ? — Ah ça, j'en suis sûr. Il l'a fait tout seul… (Extrait P.10) — Toto, tes idées sont comme des diamants… — Vous voulez dire qu'elles sont brillantes, maîtresse ? — Non… qu'elles sont si rares…(Extrait P.50)
En Souitche, là où le chocolat ne goûte pas vraiment le chocolat et où les horloges font tac-tic et non tic-tac, Frank Kaytein un horloger, rêve de remédier à la situation et de fabriquer la première montre souitche faisant tic-tac. À son grand désarroi, cette montre lui apportera plusieurs ennuis… Les rêves sont parfois fort éloignés de la réalité. Après avoir revisité le mythe de Dracula avec « Le vampire qui aimait le lait », Jean-Pierre Davidts récidive cette fois avec sa vision de l'histoire de Frankenstein.
— Bonjour, Monsieur le Directeur, Toto est très malade, il ne pourra pas venir à l'école ! — Mais qui appelle ? — Euh, c'est mon papa ! (P.40) Dans le train, un vieux monsieur vient s'asseoir à côté de Toto : — Bonjour jeune homme, je vais à Chartres. Comment saurai-je quand nous arriverons ? — Pas de soucis, M'sieur. Surveillez-moi attentivement et descendez à la station juste avant moi ! (P.20)