La sorcière Leotarda était une sorcière comme tant d’autres. Elle partageait sa maison avec une chouette, deux lézards, trois chats, quatre araignées et cinq rats. Mais elle se sentait seule. Très seule. Terriblement seule… Alors elle décida de trouver un fiancé… Dès 5 ans.
Toto croise Flagada dans la rue : — Ça va, Flagada ? — Ben, ma grand-mère est morte la semaine dernière. — Oh zut ! Qu'est-ce qu'elle avait ? — Bof, trois fois rien : une vieille télé, même pas d'ordinateur… (P.57) La grand-mère de Toto s'inquiète : — Dis-moi mon petit Toto, tu ne te laves jamais ? — Oh non, le docteur a dit que j'avais une santé de fer… Alors j'ai peur de rouiller ! (P.34)
Moi, c'est Toto ! Tu me connais sûrement, je suis installé au fond de la classe, près du radiateur. Mais pour de vrai, je passe plus de temps dans le bureau du directeur. Il me met dans un coin, et il m'oblige à rien faire. Ça tombe bien, ce que je préfère, c'est rien faire ! À partir de 7 ans.
J’ai retrouvé tous mes copains : Jojo, Mouloud, Mimi et Flagada. J’ai eu du mal à reconnaître Jojo. Il avait sa mèche collée sur le front, un sweat propre et je peux pas le jurer, mais je crois même qu’il s’était lavé les dents ! C’est bizarre comme idée de se déguiser pour la rentrée !
Chaque jour, Petit Max part en promenade avec Anna Maria Sofia. Ils ont leur itinéraire. Max est petit, mais c'est lui qui veille sur la vieille dame. Il connaît des tas de choses sur sa vie, même celles qu'elle a oubliées. Et il y en a beaucoup. A partir de 5 ans.
La maîtresse demande : — Toto, avoue que ton père t'a aidé à faire ton devoir ! — NON ! M'dame, je vous jure ! — Sûr ? — Ah ça, j'en suis sûr. Il l'a fait tout seul… (Extrait P.10) — Toto, tes idées sont comme des diamants… — Vous voulez dire qu'elles sont brillantes, maîtresse ? — Non… qu'elles sont si rares…(Extrait P.50)
Extrait : Près des forêts, dans une prairie que longeait la rivière, était une maison au toit de tuiles, aux murs couverts de glycine. Sous chacune de six fenêtres poussait un rosier blanc. Françoise habitait là. Ses yeux, bleus comme un ciel de juin, brillaient d'un regard plus frais qu'une brise. Aussi dorés qu'un raisin mûr, ses cheveux bouclaient comme les vrilles de la vigne…
— Toto, à ton avis, quelle est la première chose que Louis XIV a faite lorsqu'il a pris le trône de France ? — S'asseoir dessus ! (Extrait P.10) La maman de Toto, désespérée, lui demande : — Mais enfin Toto, pourquoi as-tu d'aussi mauvaises notes ? — Parce que ce n'est pas moi qui les mets ! (Extrait P.20)
Extrait : Ce n'est pas d'aujourd'hui que Yan a la passion de l'eau. Tout petit, il s'amusait à faire voguer des petits morceaux de bois sur des flaques laissées par la pluie, après un orage. Ce n'est que plus tard qu'il se mit à construire des petits bateaux de papier… Dès qu'il fut plus grand, il délaissa les flaques d'eau et les bateaux de papier pour fabriquer de jolis bateaux…
A la sortie de l'école, la maîtresse demande : — Alors Toto, que comptes-tu faire pour les vacances cette année ? — Heu… rien qui puisse remplir une rédaction à la prochaine rentrée, madame…(Extrait P.9) Sur la plage, Toto regarde le soleil se coucher au loin sur la mer. — Ils ont drôlement de la chance là-bas, l'eau doit être bien chaude !
— Bonjour, Monsieur le Directeur, Toto est très malade, il ne pourra pas venir à l'école ! — Mais qui appelle ? — Euh, c'est mon papa ! (P.40) Dans le train, un vieux monsieur vient s'asseoir à côté de Toto : — Bonjour jeune homme, je vais à Chartres. Comment saurai-je quand nous arriverons ? — Pas de soucis, M'sieur. Surveillez-moi attentivement et descendez à la station juste avant moi ! (P.20)
Monsieur Guerre vivait sur une colline où il pleuvait et tonnait tout le temps. Et la maison où il habitait tombait en ruines. Il ne sortait pas souvent de chez lui, sauf pour crier au commerçant de lui apporter son déjeuner. Mais un beau jour, voilà que la maisonnette voisine fut louée et que madame Paix vint s'y installer… Paix, amour et amitié sont les sujets qui sont à la base de cette amusante histoire. Dès 5 ans.
L'humilité est une grande vertu. C'est la disposition à reconnaitre ses propres limites et erreurs, et a accepter sereinement les critiques d'autrui. Cette vertu s'accompagne toujours de la volonté de s'améliorer chaque jour. Voici une histoire illustrée, pleine de sensibilité, quasi magique. Elle met en scène la fée Susy, qui offre un extraordinaire exemple de simplicité à ses amies, et cela sans ostentation. Consciente de sa fragilité, celle-ci décide de se présenter à une sorte de concours, mais ce qu'elle propose sera tourné en ridicule par toutes ses camarades. C'est pourtant elle qui va finir par susciter l'admiration et le respect de toutes les autres fées !
— Toto, à ton avis, quelle est la première chose que Louis XIV a faite lorsqu'il a pris le trône de France ? — S'asseoir dessus ! (Extrait P.10) La maman de Toto, désespérée, lui demande : — Mais enfin Toto, pourquoi as-tu d'aussi mauvaises notes ? — Parce que ce n'est pas moi qui les mets ! (Extrait P.20)
Pour Juju, la journée a très mal démarré. Est-ce sa faute si elle a léché son assiette pour finir son petit déjeuner ? Est-ce sa faute si la pelote de laine de Nina a disparu ? Oui. Juju se demande si ça vaut le coup d'essayer de s'améliorer. Zoé dit que oui. Elles seront parfaites, généreuses et… Stop ! Que se passe-t-il ? On dirait qu'elles attirent les ennuis… — Dès 7 ans.
La première fois qu'elles se sont vues, Juju et Zoé se sont dit qu'elles ne deviendraient jamais amies. Mais un jour, Juju doit se cacher d'urgence. Zoé vient à son secours avec une baguette magique, de la peinture pour le visage et un seau rempli de vers de terre. Des ennuis à l'horizon ?Peut-être. Et des éclats de rire ? Ça, oui. — Dès 7 ans.
Il y a un fantôme dans les toilettes de l'école ! Juju et Zoé peuvent voir ses yeux qui brillent et sa silhouette molle. Elles entendent sa voix plaintive… Il ne s'est jamais rien passé d'aussi intéressant dans leur école ! — Dès 7 ans.
Pimprenelle, la petite chèvre, est une espiègle. Elle passe son temps à faire des cabrioles, suce tout ce qu'elle trouve, même le pan de la veste du fermier. Et puis elle tète toujours sa maman. Pourtant elle n'est plus un bébé. Sa maman, elle, pense : « Elle est insupportable, mais je l'aime bien quand même »…