Petites et grandes fictions

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Les aventures de Jojo et Gaufrette T7 : Bye bye tristesse (Olivier Bonnewijn) - Editions de l'Emmanuel
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Les aventures de Jojo et Gaufrette T7 : Bye bye tristesse (Olivier Bonnewijn)

2,74 €
Les aventures de Jojo et Gaufrette sont des mini-romans signés par le père Olivier Bonnewijn et illustrés par Amandine Wanert. Ils feront la joie des 7-11 ans. Zut ! Rien ne va plus. Gaufrette n'a plus le moral. Elle voit la vie en gris. Il y a des jours où l'intervention spéciale d'un agent angélique s'avère indispensable. Ce dernier réussira-t-il dans une mission aussi sensible ? Dans ce nouvel album, les aventures de Jojo et Gaufrette traversent le spleen d'une matière inattendue. A la fin du livre, un jeu de « questions-réponses » revient sur une histoire qui aborde un thème délicat avec beaucoup de tendresse.

Corinne l'aventureuse (Marguerite Soleillant)

12,00 €
Extrait : Chapitre I : LA MAISON DES BRODEUSES Sous le feuillage d'un grand frêne, à l'écart du village, il y avait la maison des brodeuses. Elle était petite cette maison et basse sous son toit de tuiles brunes où des plaques de mousse posaient leur éclat d'or. A côté de la porte une large fenêtre brillait de tous ses carreaux, derrière un pot de géranium en fleurs. Dans le pignon, sur le rebord de l'autre fenêtre plus étroite, était posée une cage de chardonnerets. Les chardonnerets pépiaient dans leur prison ; le vent chantait aux branches du frêne. Le soleil marquait 5 heures au-dessus de la montagne. La porte s'ouvrit. Menue dans sa robe de bure bien froncée à la taille, un pli d'inquiétude au front, une vieille femme s'avança sur la marche du seuil. Elle abrita  ses yeux avec sa main pour fouiller du regard le chemin montant entre les murettes de pierre où couraient des lézards. « Je ne la vois pas revenir, dit-elle, rentrant dans la maison. — Il n'est pas encore tard, grand-mère, » répondit une fillette, assise devant un métier à broder, près de la fenêtre. « Il n'est pas tard, mais elle sait bien que nous avons du travail et qu'il faudrait t'aider, et que mes pauvres yeux ne voient plus pour enfiler des aiguilles. Ah! si je ne t'avais pas pour me consoler, Eléonore !… »
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