Journaux - Brochures

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  • Auteurs: Daniel Defoe
  • Auteurs: Les frères Grimm

N° 705 - Contes de fées d'après les frères Grimm

8,00 €
Au sommaire : - Le prince grenouille, - Le loup et les sept petits chevreaux, - Le courageux petit tailleur, - Les souliers de bal. Extrait : I - Le prince grenouille Au temps jadis, à cette époque heureuse où l'on avait tout ce qu'on désirait, vivait un roi qui avait des filles fort belles ; mais la plus jeune était si charmante que le soleil lui-même était émerveillé de sa beauté. Proche du château du roi s'étendait une sombre et triste forêt, au milieu de laquelle s'élevait un vieux tilleul et, au pied de ce tilleul, il y avait une source. Un jour, qu'il faisait très chaud, la fille du roi alla dns la forêt, s'assit au bord de cette fontaine rafraîchissante et se mit à jouer avec une balle en or qu'elle lançait en l'air et rattrapait pour s'amuser. Bientôt, cependant, la balle lui échappa, tomba sur l'herbe et roula dans l'eau. La princesse la suivit des yeux ; mais la balle disparut, car l'eau était si profonde qu'on ne pouvait en voir le fond. Alors la jeune fille se mit à pleurer amèrement. Bientôt elle entendit une voix qui disait : « Pourquoi pleures-tu, ô fille de roi ? Tes larmes attendriraient les pierres mêmes. »…

N° 614 - Robinson Crusoé - 2e partie (Daniel de Foe)

4,90 €
Extrait : J'étais maintenant dans la vingt-troisième année de ma résidence en cette île, et si accoutumé à y vivre que, sans ma continuelle crainte des sauvages, j'aurais été content d'y passer le reste de mes jours et, à la fin, de me coucher pour mourir, comme le vieux bouc dans la grotte. Mon perroquet vivait encore — je l'eus avec moi pendant vingt-six ans — et nous tenions ensemble de longues conversations familières, auxquelles je trouvais un grand charme. Mon chien aussi avait été pour moi un compagnon fidèle et cher pendant seize ans, au bout desquels il mourut de vieillesse. Pour mes chats, ils s'étaient tellement multipliés et étaient devenus si incommodes que, de peur qu'ils ne me dévorassent, j'avais été obligé d'en tuer plusieurs à coups de fusil ; les autres s'enfuirent dans les bois, où ils retournèrent à l'état sauvage, à l'exception de deux ou trois que je gardai près de moi…
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