Romances - Divers éditeurs

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  • Auteurs: Claudette Degéa
  • Auteurs: Jean Sue Macleod

N° 84 - Le maître de Glenkeit (Jean Sue Macleod)

9,90 €
« Ce que je vais te dire te déplaira, déclara le vieil Ecossais à son petit-fils Andrew. Mais il faut que tu partes pour l'Italie. Il faut que tu ramènes ici, dans cette maison qui est la sienne, une petite fille… » A Rome, la surprise du jeune homme est grande, lorsqu'il se trouve en présence d'une vraie jeune fille, pleine de spontanéité et de charme. Dans la vieille demeure de Glenkeit, Tessa n'aura nulle peine à conquérir le coeur du beau vieillard qu'est Daniel Meldrum. Et celui de Margaret… Mais l'implacable tante Hester oppose la plus farouche haine. Un jour, dans l'épais brouillard qui baigne la lande, Tessa s'est attardée et elle s'est perdue. Un séduisant cavalier la sauve et la ramène. Il se nomme Nigel. Il habite une belle demeure. Il offrira bientôt son coeur et sa fortune à Tessa… Mais Tessa se demande si ce n'est pas l'autre qu'elle aime… L'autre, qui demeure muré dans une réserve farouche… et qui doit croire Tessa— la fille de Véronique — indirectement responsable des malheurs de sa famille… Au cours de la splendide fête de la Gathering ; au cours de la partie de chasse chez Nigel… Tessa a toujours la malchance et les apparences contre elle… La lettre qu'elle finit par découvrir, grâce à la brave Isobel, cette lettre qui prouve une innocence, servira-t-elle à dissiper enfin les malentendus ?

N° 266 - Son ami d'enfance (Claudette Degéa)

2,95 €
Extrait : « Trois mille deux cent cinquante francs légers ! Tout ce qu'il y a de plus légers ! Ma pauvre Isabelle, ce n'est pas le moment de faire des folies. A moins qu'il ne tombe dans ton escarcelle, la fortune d'un oncle d'Amérique ou que tu ne fasses la conquête d'un nabab cousu d'or, il faudra apprendre à ton estomac à taire ses exigences et aller demander asile à l'Armée du Salut. Si j'étais sténodactylo, infirmière ou vendeuse en alimentation, il n'y aurait pas de problèmes. Mon couvert et mon gîte seraient assurés. Mais quand on est journaliste qu'on a l'obstination d'aimer son métier au point de ne pas vouloir en exercer un autre, on connaît le destin sans gloire de ceux qui meurent de faim. » D'une main rageuse, Isabelle Vernet lança son porte-monnaie sur le meuble le plus proche et déplia un journal qu'elle étala sur son lit…
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