Romances - Divers éditeurs

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Tourments (Marie-Anne Desmarest) - Editions Denoël
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Tourments (Marie-Anne Desmarest)

11,00 €
Au bord d'un beau lac de Bavière, deux jeunes époux heureux vivent tout à coup la plus terrible des angoisses : leur bébé, âgé de deux mois, disparaît. Les ravisseurs n'ont laissé aucun indice, aucune trace. Ils ne réclament rien. Alors, pourquoi cet enlèvement ? Les amies de Marthe et Walter Galland partagent leurs recherches. La tendre Iris, qu'une tragédie a jadis séparée de celui qu'elle aimait, osera-t-elle faire un aveu difficile ? Pour la sauver, au moment où les dangers la cernent, Hugues Delagarche va-t-il se précipiter dans un piège ? Amoureux repoussé, l'aristocrate Kurt oubliera-t-il son humiliation pour aider les parents affolés et deux êtres faits l'un pour l'autre mais qui ne peuvent pas se le dire ? La réponse est dans la mystérieuse « Maison au Cèdre » isolée dans les bois, mais aussi dans le tic-tac inexorable d'une horloge, dans de précieuses minutes perdues par la police, dans les desseins de l'inquiétant Docteur Radamow. Ce livre, où les lectrices de Marie-Anne Desmarest retrouvent les héros de Dis-moi qui tu aimes , est fait de tendresse et d'angoisse. Il est l'œuvre la plus captivante de la grande romancière depuis Torrents .

N° 16 - Seule pour lutter (L. D'Armont) - Les drames de la vie

4,90 €
Extrait : La neige voltigeait dans l'air sec. Un duvet blanc commençait à rendre féérique les sapins de bois des Gions. Courbée, une jeune femme, enveloppée d'une mante grise à capuchon, avançait péniblement. De temps en temps, elle entr'ouvrait le vêtement et murmurait : — Mon pauvre amour. Le tout petit qu'elle portait ses ses bras dormait bien au chaud contre le coeur maternel…

N° 335 - L'aveugle (Henri Sébille) - Mon Roman complet illustré

2,90 €
Extrait : Léon Duverger venait à peine d'être libéré du service militaire quand la mobilisation générale fut décrétée. Envoyé en Belgique pour soutenir les Belges contre le premier choc des Boches, il dut, comme ses camarades, subir la retraite et n'eut même pas la joie d'entendre, le 11 septembre 1914, l'ordre du jour si magnifique dans sa brièveté, du maréchal Joffre…
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