Littérature Jeunesse

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  • Auteurs: Alain Jost
  • Auteurs: Alexander McCall Smith
  • Auteurs: Marguerite Soleillant
Bonne nuit les petits : Un esprit farceur (Alain Jost) - Mini-club N° 2 - Editions HEMMA
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Mini-club N° 2 - Bonne nuit les petits : Un esprit farceur (Alain Jost)

2,95 €
Bonne nuit les petits : Un esprit farceur Au voleur, au voleur !… Mais qui donc vole les biscuits de Madame Lépinoche et fait disparaître les cigares du colonel Beaurire ? Nicolas et Pimprenelle, aidés du célèbre Sherlock Nounours vont se lancer sur les traces d'un personnage énigmatique. L'enquête sera longue et difficile ! Enfin, nos amis découvriront le coupable après avoir démasqué et fait avouer son complice. Pour toi qui as entre 4 et 9 ans, voici une collection agréable. Chaque livre contient de 16 à 20 chapitres, bien découpés, imprimés en grands caractères. Sur chaque double page, un dessin illustre l'histoire. Ainsi, tu pourras le lire seul sans difficulté ou te le faire lire par un grand.
Où sont mes cinq tantes sans tête ? (Alexander McCall Smith) - Pocket Junior N° 491
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Où sont mes cinq tantes sans tête ? (Alexander McCall Smith) - Pocket Junior N° 491

2,15 €
Vous ai-je déjà parlé de mes tantes ? Non ? Alors il faut que je vous en parle tout de suite. Incroyable ! Henriette apprend à neuf ans qu'elle a cinq tantes. Bien décidée à les retrouver, elle se lance dans une enquête aussi délirante qu'effrénée. De Véronica, championne de lever de cochons, à Harmonica, doublure soprano à l'Opéra, en passant par Majolica, maîtresse d'école hyper-autoritaire, et Thessalonika et Japonica, jumelles détectives, Henriette ne sait plus où donner de la tête.

Corinne l'aventureuse (Marguerite Soleillant)

12,00 €
Extrait : Chapitre I : LA MAISON DES BRODEUSES Sous le feuillage d'un grand frêne, à l'écart du village, il y avait la maison des brodeuses. Elle était petite cette maison et basse sous son toit de tuiles brunes où des plaques de mousse posaient leur éclat d'or. A côté de la porte une large fenêtre brillait de tous ses carreaux, derrière un pot de géranium en fleurs. Dans le pignon, sur le rebord de l'autre fenêtre plus étroite, était posée une cage de chardonnerets. Les chardonnerets pépiaient dans leur prison ; le vent chantait aux branches du frêne. Le soleil marquait 5 heures au-dessus de la montagne. La porte s'ouvrit. Menue dans sa robe de bure bien froncée à la taille, un pli d'inquiétude au front, une vieille femme s'avança sur la marche du seuil. Elle abrita  ses yeux avec sa main pour fouiller du regard le chemin montant entre les murettes de pierre où couraient des lézards. « Je ne la vois pas revenir, dit-elle, rentrant dans la maison. — Il n'est pas encore tard, grand-mère, » répondit une fillette, assise devant un métier à broder, près de la fenêtre. « Il n'est pas tard, mais elle sait bien que nous avons du travail et qu'il faudrait t'aider, et que mes pauvres yeux ne voient plus pour enfiler des aiguilles. Ah! si je ne t'avais pas pour me consoler, Eléonore !… »
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