Littérature Jeunesse

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  • Auteurs: Aleix Cabrera
  • Auteurs: Gladys Davidson
  • Auteurs: Zaü

Les fées nous enseignent… l'humilité (Rosa M. Curto, Aleix Cabrera)

4,55 €
L'humilité est une grande vertu. C'est la disposition à reconnaitre ses propres limites et erreurs, et a accepter sereinement les critiques d'autrui. Cette vertu s'accompagne toujours de la volonté de s'améliorer chaque jour. Voici une histoire illustrée, pleine de sensibilité, quasi magique. Elle met en scène la fée Susy, qui offre un extraordinaire exemple de simplicité à ses amies, et cela sans ostentation. Consciente de sa fragilité, celle-ci décide de se présenter à une sorte de concours, mais ce qu'elle propose sera tourné en ridicule par toutes ses camarades. C'est pourtant elle qui va finir par susciter l'admiration et le respect de toutes les autres fées !

La petite fille qui ne souriait plus (Gilles Tibo, Zaü)

5,57 €
Lisa a un secret. Un terrible secret qu'elle ne peut raconter à personne. Seul un homme le connait. Un homme qui lui fait peur et qui lui donne des cadeaux pour qu'elle se taise. Alors, la petite fille s'enfonce dans le silence. Elle ne parle plus. Elle ne joue plus. Elle ne sourit plus. Elle vit nuit et jour avec ce mal cramponné à son ventre. Jusqu'au jour où l'un de ses dessins révèle ce qui la hante et l'amène enfin à trouver les mots. Les mots qui soulagent et qui libèrent. Son récit bouleversant rendra l'espoir à plus d'un enfant qui souffre en silence. De 6 à 8 ans.

N° 706 - La rose magique (Gladys Davidson)

12,00 €
Extrait : I - Deux Princes Il était une fois un vieux Roi fort riche, qui avait un très méchant fils et un neveu très bon. Le fils se nommait le prince Ragio ; et ce nom lui allait à merveille, car on ne vit jamais Prince plus désagréable, plus laid, plus stupide, et d'un caractère plus mauvais, dans tout le Monde des fées. Personne ne l'aimait, et le peuple tremblait à la pensée qu'un jour il serait le maître ; car, au lieu de s'occuper des affaires de l'état, comme un Prince sage doit le faire, il passait tout son temps à s'amuser avec des compagnons de paresse, et il faisait toujours le mal partout où il allait. Sa mauvaise conduite était un perpétuel sujet de douleur pour son père, et le pauvre vieux Roi en fut devenu fou, n'eût été la bonté de son neveu, le prince Florizel, qui l'aidait de son mieux et lui était, en vérité, une grande consolation. Ce jeune Prince était aussi beau que son cousin était laid ; il était aimable, intelligent, plein de vaillance et de noblesse. Il assistait aux conseils et prêtait au vieux Roi toute l'assistance qu'il pouvait ; plus d'une fois, grâce à ses sages avis, on put se tirer d'ennuis causés par la conduite déréglée du prince Ragio. Le peuple aimait le prince Florizel, et l'aurait bien voulu pour Roi ; mais, pendant longtemps, il garda ce voeu secret, tant il craignait que le méchant Prince ne tuât son favori…
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