Littérature Jeunesse

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  • Auteurs: Arianna Chottin
  • Auteurs: Jean Riverain
  • Auteurs: Marguerite Soleillant
Louis Pasteur à travers le monde fantastique des microbes - Jean Riverain - Spirale N° 3.497
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N° 3.497 - Louis Pasteur à travers le monde fantastique des microbes (Jean Riverain)

3,42 €
Le Pasteur que nous présente Jean Riverain est un Pasteur vivant, aux dehors rugueux, violent dans la discussion, sujet à de grandes colères, mais capable aussi d'infinies attentions à l'égard des faibles, un Pasteur replacé dans son siècle : celui des premiers chemins de fer. Nous le voyons vivre dans son lieu par une évocation de sa famille, de ses amis et des savants, dont la plupart lui furent hostiles. Mais la plus grande originalité de ce livre est d'avoir rendu les découvertes de Pasteur aussi passionnantes que celles de Marco Polo à travers l'Asie inconnue*. Les familles microbiennes nous apparaissent avec leurs caractères physiques, leurs pouvoirs, leur virulence, leurs parentés, en quelque sorte « personnalisées ». Ce livre constitue une oeuvre d'un genre nouveau : celui du romanesque scientifique, un romanesque non pas de fiction ni d'anticipation, mais de vérité, qui passionnera les jeunes. * Du même auteur, dans la même collection.

Corinne l'aventureuse (Marguerite Soleillant)

12,00 €
Extrait : Chapitre I : LA MAISON DES BRODEUSES Sous le feuillage d'un grand frêne, à l'écart du village, il y avait la maison des brodeuses. Elle était petite cette maison et basse sous son toit de tuiles brunes où des plaques de mousse posaient leur éclat d'or. A côté de la porte une large fenêtre brillait de tous ses carreaux, derrière un pot de géranium en fleurs. Dans le pignon, sur le rebord de l'autre fenêtre plus étroite, était posée une cage de chardonnerets. Les chardonnerets pépiaient dans leur prison ; le vent chantait aux branches du frêne. Le soleil marquait 5 heures au-dessus de la montagne. La porte s'ouvrit. Menue dans sa robe de bure bien froncée à la taille, un pli d'inquiétude au front, une vieille femme s'avança sur la marche du seuil. Elle abrita  ses yeux avec sa main pour fouiller du regard le chemin montant entre les murettes de pierre où couraient des lézards. « Je ne la vois pas revenir, dit-elle, rentrant dans la maison. — Il n'est pas encore tard, grand-mère, » répondit une fillette, assise devant un métier à broder, près de la fenêtre. « Il n'est pas tard, mais elle sait bien que nous avons du travail et qu'il faudrait t'aider, et que mes pauvres yeux ne voient plus pour enfiler des aiguilles. Ah! si je ne t'avais pas pour me consoler, Eléonore !… »
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