Littérature Jeunesse

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Arthur Conan Doyle
  • Auteurs: Général Giraud
  • Auteurs: Marguerite Soleillant
Le monde perdu (Arthur Conan Doyle) - Le livre de poche N° 15
  • Nouveau

Le monde perdu (Arthur Conan Doyle) - Le livre de poche N° 15

2,95 €
Trois Anglais prêts à tout prennent part, au bout du monde, à l'expédition du professeur Challenger. Perdus, traqués par des hommes-singes, frôlés par des ailes monstrueuses, les voyageurs découvrent alors l'impossible : la préhistoire n'est pas morte ! À partir de 10 ans.

Mes évasions (Général Giraud)

5,95 €
La carrière du général Giraud, soldat sans peur et sans reproche, a été marquée par trois mémorables évasions. En 1914, après la bataille de la Marne, évasion du capitaine Giraud de l'hôpital allemand d'Origny-Sainte-Benoîte et retour en France par Bruxelles, La Haye et Folkestone. De mai 1940 à avril 1942, préparation minutieuse et réussite méritoire du chef-d'oeuvre d'ingéniosité et de sang-froid que fut l'évasion du général d'armée Giraud de la forteresse nid d'aigle de Kônigstein. Enfin, en novembre 1942, embarquement en sous-marin, au large des côtes de France, vers Gibraltar et l'Algérie. Un livre exaltant pour les Français de tout âge.

Corinne l'aventureuse (Marguerite Soleillant)

12,00 €
Extrait : Chapitre I : LA MAISON DES BRODEUSES Sous le feuillage d'un grand frêne, à l'écart du village, il y avait la maison des brodeuses. Elle était petite cette maison et basse sous son toit de tuiles brunes où des plaques de mousse posaient leur éclat d'or. A côté de la porte une large fenêtre brillait de tous ses carreaux, derrière un pot de géranium en fleurs. Dans le pignon, sur le rebord de l'autre fenêtre plus étroite, était posée une cage de chardonnerets. Les chardonnerets pépiaient dans leur prison ; le vent chantait aux branches du frêne. Le soleil marquait 5 heures au-dessus de la montagne. La porte s'ouvrit. Menue dans sa robe de bure bien froncée à la taille, un pli d'inquiétude au front, une vieille femme s'avança sur la marche du seuil. Elle abrita  ses yeux avec sa main pour fouiller du regard le chemin montant entre les murettes de pierre où couraient des lézards. « Je ne la vois pas revenir, dit-elle, rentrant dans la maison. — Il n'est pas encore tard, grand-mère, » répondit une fillette, assise devant un métier à broder, près de la fenêtre. « Il n'est pas tard, mais elle sait bien que nous avons du travail et qu'il faudrait t'aider, et que mes pauvres yeux ne voient plus pour enfiler des aiguilles. Ah! si je ne t'avais pas pour me consoler, Eléonore !… »
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire