Littérature Jeunesse

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  • Auteurs: Christopher Pike
  • Auteurs: Doris Andersen
  • Auteurs: Gladys Davidson

Esclave des Haïdas (Doris Andersen) - Castor Poche N° 72

2,74 €
Kim-Ta, fils d'un chef de la tribu indienne des Salish, rêve de tuer le plus respecté et le plus puissant des animaux : l'ours noir. Aidé de son esclave personnel, il s'attaque à l'animal et le tue. Mais il a enfreint les règles et n'a pas respecté le rituel. Comme par châtiment de l'esprit en colère, les Haïdas attaquent le village de Salish et emmènent Kim-Ta et sa petite soeur loin de leur terre natale. Au cours de sa captivité chez les Haïdas, Kim-Ta découvre la dure réalité de l'esclavage mais il s'initie aussi aux riches coutunes de ce peuple de marins Mais peut-on oublier que l'on est né libre et fils de chef ?

Dernier acte (Christopher Pike)

2,15 €
Mélanie n'est pas à Careville depuis longtemps, elle ne connaît personne et passe ses soirées à étudier. Aussi, quand elle décroche un rôle dans la pièce que monte la troupe du lycée, elle est folle de joie. Désormais, elle a des amis. Marc, en particulier. Mais pourquoi est-il si taciturne ? Et Rindy… Quelle fille bizarre ! Peu à peu, Mélanie comprend que tous partagent un terrible secret. Que s'est-il passé l'année précédente ? Et qui est ce mystérieux Clyde dont personne ne veut parler ? Arrive enfin le jour J : Mélanie est sur scène. Suivant le scénario, elle vise Rindy et tire. Sa partenaire s'écroule, une tache rouge apparaît sur sa chemise. Rindy ne joue plus : elle est morte. Et Mélanie se retrouve menottes aux poignets.

N° 706 - La rose magique (Gladys Davidson)

12,00 €
Extrait : I - Deux Princes Il était une fois un vieux Roi fort riche, qui avait un très méchant fils et un neveu très bon. Le fils se nommait le prince Ragio ; et ce nom lui allait à merveille, car on ne vit jamais Prince plus désagréable, plus laid, plus stupide, et d'un caractère plus mauvais, dans tout le Monde des fées. Personne ne l'aimait, et le peuple tremblait à la pensée qu'un jour il serait le maître ; car, au lieu de s'occuper des affaires de l'état, comme un Prince sage doit le faire, il passait tout son temps à s'amuser avec des compagnons de paresse, et il faisait toujours le mal partout où il allait. Sa mauvaise conduite était un perpétuel sujet de douleur pour son père, et le pauvre vieux Roi en fut devenu fou, n'eût été la bonté de son neveu, le prince Florizel, qui l'aidait de son mieux et lui était, en vérité, une grande consolation. Ce jeune Prince était aussi beau que son cousin était laid ; il était aimable, intelligent, plein de vaillance et de noblesse. Il assistait aux conseils et prêtait au vieux Roi toute l'assistance qu'il pouvait ; plus d'une fois, grâce à ses sages avis, on put se tirer d'ennuis causés par la conduite déréglée du prince Ragio. Le peuple aimait le prince Florizel, et l'aurait bien voulu pour Roi ; mais, pendant longtemps, il garda ce voeu secret, tant il craignait que le méchant Prince ne tuât son favori…
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