Littérature Jeunesse

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  • Auteurs: Dan Mitrecey
  • Auteurs: Daniel Defoe
  • Auteurs: Thérèse Bernardis
La machine extraordinaire (Dan Mitrecey) - Club Benjamin N° 308 - Editions Cerf-Volant
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Club Benjamin N° 308 - La machine extraordinaire (Dan Mitrecey)

2,55 €
Manon est triste car elle a fait tomber son grand livre de contes dans son bain et les pages se sont arrachées. Pour la consoler, son grand frère va lui fabriquer une machine extraordinaire, afin qu'elle puisse se promener dans les histoires et rencontrer ses héros préférés : Blanche-Neige ou le Petit Chaperon Rouge. Manon, qui connaît les dangers qui les menacent veut les prévenir, mais cela change bien des choses…

Quand je serai grand N° 4 : Rencontre avec une star ou la passion de la télé (Dan Mitrecey)

2,56 €
Dans son lycée, Sandrine est reconnue comme la spécialiste n° 1 des feuillerons télé, qu'elle dévore chaque soir, ses devoirs terminés. Elle n'a qu'une idée en tête : devenir comédienne comme la vedette de son feuilleton préféré. Au cours de l'été, elle rencontre son idole sur un plateau de tournage où elle surprend une conversation qui l'inquiète beaucoup.

Un secret en danger (Ernest Fornel) - Collection Printemps Recueil N° 37

12,00 €
Recueil de 6 romans complets - Un secret en danger (Ernest Fornel) : N° 217 paru en 1937, - L'aire des aiglons (Jean de Fervacques) : N° 218 paru en 1937, - Tôt ou tard (Michel Dorlys) : N° 219 paru en 1937, - La maison cernée (Claude Renaudy) : N° 220 paru en 1937, - Sports d'hiver (Thérèse Bernardis) : N° 221 paru en 1937, - Rose-des-vents (Maria de Crisenoy) : N° 222 paru en 1937.

N° 614 - Robinson Crusoé - 2e partie (Daniel de Foe)

4,90 €
Extrait : J'étais maintenant dans la vingt-troisième année de ma résidence en cette île, et si accoutumé à y vivre que, sans ma continuelle crainte des sauvages, j'aurais été content d'y passer le reste de mes jours et, à la fin, de me coucher pour mourir, comme le vieux bouc dans la grotte. Mon perroquet vivait encore — je l'eus avec moi pendant vingt-six ans — et nous tenions ensemble de longues conversations familières, auxquelles je trouvais un grand charme. Mon chien aussi avait été pour moi un compagnon fidèle et cher pendant seize ans, au bout desquels il mourut de vieillesse. Pour mes chats, ils s'étaient tellement multipliés et étaient devenus si incommodes que, de peur qu'ils ne me dévorassent, j'avais été obligé d'en tuer plusieurs à coups de fusil ; les autres s'enfuirent dans les bois, où ils retournèrent à l'état sauvage, à l'exception de deux ou trois que je gardai près de moi…
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