Littérature Jeunesse

Il y a 3 produits.

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  • Auteurs: Daniel Defoe
  • Auteurs: Didier Herlem
  • Auteurs: Martine Delerm

Un mystère presque parfait (Didier Herlem)

2,92 €
Les vacances d'Antoine s'annonçaient calmes. Aussi n'en croit-il ni ses yeux, ni ses oreilles quand la réalité dépasse ses rêves les plus fous : qui aurait, en effet, imaginé que la paisible station de sports d'hiver abriterait un espion anglais, un escroc à barbe et à perruque, et que s'y dérouleraient cambriolages, enlèvements et autres bizarreries… Antoine aura bien du mal à démêler les fils du mystère qui couve.

Clémence et le grand parapluie (Martine Delerm)

8,00 €
Clémence aime être seule. Sous son parapluie rouge, elle est bien au chaud et se complaît dans sa rêverie mais voilà que peu à peu, le parapluie grandit… Il était compagnon, il était protecteur, il devient encombrant et finit par interdire toute communication avec autrui. Et Clémence rêve parfois qu'il s'envole, pour s'échapper.  La timidité qui donnait du prix aux sentiments et aux sensations éprouvées, enferme Clémence dans ses peurs et sa solitude. Elle rapetisse, le parapluie envahit peu à peu les illustrations, Clémence disparaît sous le rouge… Saura-t-elle réagir à temps ? Trouvera-t-elle quelqu'un pour l'aider ? Martine Delerm aborde de façon ludique et poétique le douloureux problème de la timidité, du manque de confiance en soi et d'un dilemme cher à l'enfance : la peur et l'envie de grandir.

N° 614 - Robinson Crusoé - 2e partie (Daniel de Foe)

4,90 €
Extrait : J'étais maintenant dans la vingt-troisième année de ma résidence en cette île, et si accoutumé à y vivre que, sans ma continuelle crainte des sauvages, j'aurais été content d'y passer le reste de mes jours et, à la fin, de me coucher pour mourir, comme le vieux bouc dans la grotte. Mon perroquet vivait encore — je l'eus avec moi pendant vingt-six ans — et nous tenions ensemble de longues conversations familières, auxquelles je trouvais un grand charme. Mon chien aussi avait été pour moi un compagnon fidèle et cher pendant seize ans, au bout desquels il mourut de vieillesse. Pour mes chats, ils s'étaient tellement multipliés et étaient devenus si incommodes que, de peur qu'ils ne me dévorassent, j'avais été obligé d'en tuer plusieurs à coups de fusil ; les autres s'enfuirent dans les bois, où ils retournèrent à l'état sauvage, à l'exception de deux ou trois que je gardai près de moi…
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