Littérature Jeunesse

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  • Auteurs: Gladys Davidson
  • Auteurs: Madeleine Grattan

Frères des brumes (Madeleine Grattan)

5,95 €
Serge est orphelin. Il a heureusement trouvé en Angèle, la fille des maraîchers qui l'ont recueilli et élevé, une véritable soeur. Ensemble ils ont grandi, ensemble ils ont flâné le long de la Garonne. Mystérieusement, Angèle, le soir d'une de ces promenades au bord du fleuve, disparaît sans laisser de traces et semble définitivement perdue. Pourtant Serge garde la certitude absolue, inexplicable, que sa petite soeur est vivante et qu'il la retrouvera. C'est pourquoi il se confie à cet inconnu sympathique qui l'aide à s'embarquer clandestinement à bord du Pandar , cargo au chargement bien suspect et à la destination inconnue ! Après de longs jours de mer et un débarquement difficile sur une île écartée, Serge se trouve brusquement mêlé à un étrange groupe d'enfants. Qui sont-ils ? D'où viennent-ils ? Pourquoi ce malaise lorsque Serge les questionne ? Quelle est cette occupation bizarre qui les absorbe du matin au soir ? Quel est le mystère de « l'île au Jexium » ?

N° 706 - La rose magique (Gladys Davidson)

12,00 €
Extrait : I - Deux Princes Il était une fois un vieux Roi fort riche, qui avait un très méchant fils et un neveu très bon. Le fils se nommait le prince Ragio ; et ce nom lui allait à merveille, car on ne vit jamais Prince plus désagréable, plus laid, plus stupide, et d'un caractère plus mauvais, dans tout le Monde des fées. Personne ne l'aimait, et le peuple tremblait à la pensée qu'un jour il serait le maître ; car, au lieu de s'occuper des affaires de l'état, comme un Prince sage doit le faire, il passait tout son temps à s'amuser avec des compagnons de paresse, et il faisait toujours le mal partout où il allait. Sa mauvaise conduite était un perpétuel sujet de douleur pour son père, et le pauvre vieux Roi en fut devenu fou, n'eût été la bonté de son neveu, le prince Florizel, qui l'aidait de son mieux et lui était, en vérité, une grande consolation. Ce jeune Prince était aussi beau que son cousin était laid ; il était aimable, intelligent, plein de vaillance et de noblesse. Il assistait aux conseils et prêtait au vieux Roi toute l'assistance qu'il pouvait ; plus d'une fois, grâce à ses sages avis, on put se tirer d'ennuis causés par la conduite déréglée du prince Ragio. Le peuple aimait le prince Florizel, et l'aurait bien voulu pour Roi ; mais, pendant longtemps, il garda ce voeu secret, tant il craignait que le méchant Prince ne tuât son favori…
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