Littérature Jeunesse

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  • Auteurs: André Paul Antoine
  • Auteurs: Marguerite Soleillant
Le Chevalier Tempête (André Paul Antoine) - Bibliothèque Rouge et Or - Télé Souveraine
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N° 2.705 - Le Chevalier Tempête (André Paul Antoine)

7,95 €
Sa fougue au combat lui a valu le surnom de « Chevalier Tempête » François de Recci, jeune gentilhomme recueilli par sa tante, la Duchesse de Blainville, a été blessé au siège de La Rochelle. Sa fougue au combat lui a valu le surnom de « Chevalier Tempête ». Mais la longue inaction entraînée par sa convalescence lui pèse. Il rêve de se rendre en Italie où ses camarades résistent héroïquement dans le fort de Casal, encerclé par les Espagnols. Le « Chevalier Tempête » réussit à forcer le blocus et rejoint les défenseurs de la forteresse, accompagné de son fidèle valet Guillot. Mais la situation des assiégés le révolte. Il brave la discipline et se trouve finalement chargé d'alerter le Maréchal de La Force. Des aventures extraordinaires l'attendent, et aussi un grand amour. Il accomplira sa délicate mission puis épousera la ravissante Isabelle de Sospelle… Pour Garçons et Filles de 12 à 13 ans.

Corinne l'aventureuse (Marguerite Soleillant)

12,00 €
Extrait : Chapitre I : LA MAISON DES BRODEUSES Sous le feuillage d'un grand frêne, à l'écart du village, il y avait la maison des brodeuses. Elle était petite cette maison et basse sous son toit de tuiles brunes où des plaques de mousse posaient leur éclat d'or. A côté de la porte une large fenêtre brillait de tous ses carreaux, derrière un pot de géranium en fleurs. Dans le pignon, sur le rebord de l'autre fenêtre plus étroite, était posée une cage de chardonnerets. Les chardonnerets pépiaient dans leur prison ; le vent chantait aux branches du frêne. Le soleil marquait 5 heures au-dessus de la montagne. La porte s'ouvrit. Menue dans sa robe de bure bien froncée à la taille, un pli d'inquiétude au front, une vieille femme s'avança sur la marche du seuil. Elle abrita  ses yeux avec sa main pour fouiller du regard le chemin montant entre les murettes de pierre où couraient des lézards. « Je ne la vois pas revenir, dit-elle, rentrant dans la maison. — Il n'est pas encore tard, grand-mère, » répondit une fillette, assise devant un métier à broder, près de la fenêtre. « Il n'est pas tard, mais elle sait bien que nous avons du travail et qu'il faudrait t'aider, et que mes pauvres yeux ne voient plus pour enfiler des aiguilles. Ah! si je ne t'avais pas pour me consoler, Eléonore !… »
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