Littérature Jeunesse

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  • Auteurs: Marguerite Soleillant
  • Auteurs: Philippe Ebly
Les conquérants de l'impossible : Le robot qui vivait sa vie - Philippe Ebly - Bibliothèque verte
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N° 108 - Les conquérants de l'impossible : Le robot qui vivait sa vie (Philippe Ebly)

2,95 €
Haum est, en apparence, un Vietnamien d'une quinzaine d'années. Il est souple, robuste et rapide. Il court plus vite que n'importe qui et saute plus haut qu'un champion olympique. Il parle et sourit comme tout le monde. Son aspect est exactement celui d'un être humain, mais ce n'est qu'un robot ! Serge, Xolotl et Thibaut ont une mission précise : ils doivent accompagner Haum, sans jamais le perdre de vue, et veiller à ce que le secret de son existence soit bien gardé. Mais, un matin, le robot leur fausse compagnie : il veut vivre sa vie…

Corinne l'aventureuse (Marguerite Soleillant)

12,00 €
Extrait : Chapitre I : LA MAISON DES BRODEUSES Sous le feuillage d'un grand frêne, à l'écart du village, il y avait la maison des brodeuses. Elle était petite cette maison et basse sous son toit de tuiles brunes où des plaques de mousse posaient leur éclat d'or. A côté de la porte une large fenêtre brillait de tous ses carreaux, derrière un pot de géranium en fleurs. Dans le pignon, sur le rebord de l'autre fenêtre plus étroite, était posée une cage de chardonnerets. Les chardonnerets pépiaient dans leur prison ; le vent chantait aux branches du frêne. Le soleil marquait 5 heures au-dessus de la montagne. La porte s'ouvrit. Menue dans sa robe de bure bien froncée à la taille, un pli d'inquiétude au front, une vieille femme s'avança sur la marche du seuil. Elle abrita  ses yeux avec sa main pour fouiller du regard le chemin montant entre les murettes de pierre où couraient des lézards. « Je ne la vois pas revenir, dit-elle, rentrant dans la maison. — Il n'est pas encore tard, grand-mère, » répondit une fillette, assise devant un métier à broder, près de la fenêtre. « Il n'est pas tard, mais elle sait bien que nous avons du travail et qu'il faudrait t'aider, et que mes pauvres yeux ne voient plus pour enfiler des aiguilles. Ah! si je ne t'avais pas pour me consoler, Eléonore !… »
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