Littérature Jeunesse

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  • Auteurs: Marguerite Soleillant
  • Auteurs: Pierre Bourgeat

Bachir et les sept épreuves (Pierre Bourgeat) - Castor Poche N° 85

2,74 €
Bachir est un jeune Kabyle espiègle et futé. Il ne manque pas d'idées pour répondre aux railleries des femmes du village. Mais il est loin d'avoir toujours le dernier mot… Un jour, pour échapper aux femmes de la maison, Bachir va garder les chèvres de son père sur les hauts plateaux. « Enfin un peu de calme ! » pense-t-il. Mais voilà que ses sept chèvres disparaissent. Un Djinn les a confisquées et lui impose sept épreuves. A chaque épreuve réussie, Bachir regagnera une chèvre. C'est le moment pour lui d'utiliser son esprit inventif. Qui sera le plus malin ? Le Djinn ou Bachir ?

Corinne l'aventureuse (Marguerite Soleillant)

12,00 €
Extrait : Chapitre I : LA MAISON DES BRODEUSES Sous le feuillage d'un grand frêne, à l'écart du village, il y avait la maison des brodeuses. Elle était petite cette maison et basse sous son toit de tuiles brunes où des plaques de mousse posaient leur éclat d'or. A côté de la porte une large fenêtre brillait de tous ses carreaux, derrière un pot de géranium en fleurs. Dans le pignon, sur le rebord de l'autre fenêtre plus étroite, était posée une cage de chardonnerets. Les chardonnerets pépiaient dans leur prison ; le vent chantait aux branches du frêne. Le soleil marquait 5 heures au-dessus de la montagne. La porte s'ouvrit. Menue dans sa robe de bure bien froncée à la taille, un pli d'inquiétude au front, une vieille femme s'avança sur la marche du seuil. Elle abrita  ses yeux avec sa main pour fouiller du regard le chemin montant entre les murettes de pierre où couraient des lézards. « Je ne la vois pas revenir, dit-elle, rentrant dans la maison. — Il n'est pas encore tard, grand-mère, » répondit une fillette, assise devant un métier à broder, près de la fenêtre. « Il n'est pas tard, mais elle sait bien que nous avons du travail et qu'il faudrait t'aider, et que mes pauvres yeux ne voient plus pour enfiler des aiguilles. Ah! si je ne t'avais pas pour me consoler, Eléonore !… »
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