Littérature Jeunesse

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  • Auteurs: Marguerite Soleillant
  • Auteurs: Stéphanie Blake
Je veux des pâtes ! (Stephanie Blake) - L'école des loisirs
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Je veux des pâtes ! (Stephanie Blake)

2,55 €
Simon a beau être un Superlapin, ses goûts en matière d’alimentation ne sont pas supervariés… Quand sa maman l’appelle pour manger ses tartines, quand son papa lui dit de finir son bifteck et ses légumes, Simon répond : « Pouah ! Berk ! C’est pas bon ! » Lui, tout ce qu’il veut, c’est manger des pâtes, un point c’est tout. Mais que se passe-t-il quand Maman fait du gâteau au chocolat, et que la condition pour en avoir un gros morceau, c’est de manger d’abord... sa soupe ? Source : L'école des loisirs À partir de 3 ans.

Corinne l'aventureuse (Marguerite Soleillant)

12,00 €
Extrait : Chapitre I : LA MAISON DES BRODEUSES Sous le feuillage d'un grand frêne, à l'écart du village, il y avait la maison des brodeuses. Elle était petite cette maison et basse sous son toit de tuiles brunes où des plaques de mousse posaient leur éclat d'or. A côté de la porte une large fenêtre brillait de tous ses carreaux, derrière un pot de géranium en fleurs. Dans le pignon, sur le rebord de l'autre fenêtre plus étroite, était posée une cage de chardonnerets. Les chardonnerets pépiaient dans leur prison ; le vent chantait aux branches du frêne. Le soleil marquait 5 heures au-dessus de la montagne. La porte s'ouvrit. Menue dans sa robe de bure bien froncée à la taille, un pli d'inquiétude au front, une vieille femme s'avança sur la marche du seuil. Elle abrita  ses yeux avec sa main pour fouiller du regard le chemin montant entre les murettes de pierre où couraient des lézards. « Je ne la vois pas revenir, dit-elle, rentrant dans la maison. — Il n'est pas encore tard, grand-mère, » répondit une fillette, assise devant un métier à broder, près de la fenêtre. « Il n'est pas tard, mais elle sait bien que nous avons du travail et qu'il faudrait t'aider, et que mes pauvres yeux ne voient plus pour enfiler des aiguilles. Ah! si je ne t'avais pas pour me consoler, Eléonore !… »
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