Littérature Jeunesse

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  • Auteurs: Gladys Davidson
  • Auteurs: Pierre Bourgeat

Bachir et les sept épreuves (Pierre Bourgeat) - Castor Poche N° 85

2,74 €
Bachir est un jeune Kabyle espiègle et futé. Il ne manque pas d'idées pour répondre aux railleries des femmes du village. Mais il est loin d'avoir toujours le dernier mot… Un jour, pour échapper aux femmes de la maison, Bachir va garder les chèvres de son père sur les hauts plateaux. « Enfin un peu de calme ! » pense-t-il. Mais voilà que ses sept chèvres disparaissent. Un Djinn les a confisquées et lui impose sept épreuves. A chaque épreuve réussie, Bachir regagnera une chèvre. C'est le moment pour lui d'utiliser son esprit inventif. Qui sera le plus malin ? Le Djinn ou Bachir ?

N° 706 - La rose magique (Gladys Davidson)

12,00 €
Extrait : I - Deux Princes Il était une fois un vieux Roi fort riche, qui avait un très méchant fils et un neveu très bon. Le fils se nommait le prince Ragio ; et ce nom lui allait à merveille, car on ne vit jamais Prince plus désagréable, plus laid, plus stupide, et d'un caractère plus mauvais, dans tout le Monde des fées. Personne ne l'aimait, et le peuple tremblait à la pensée qu'un jour il serait le maître ; car, au lieu de s'occuper des affaires de l'état, comme un Prince sage doit le faire, il passait tout son temps à s'amuser avec des compagnons de paresse, et il faisait toujours le mal partout où il allait. Sa mauvaise conduite était un perpétuel sujet de douleur pour son père, et le pauvre vieux Roi en fut devenu fou, n'eût été la bonté de son neveu, le prince Florizel, qui l'aidait de son mieux et lui était, en vérité, une grande consolation. Ce jeune Prince était aussi beau que son cousin était laid ; il était aimable, intelligent, plein de vaillance et de noblesse. Il assistait aux conseils et prêtait au vieux Roi toute l'assistance qu'il pouvait ; plus d'une fois, grâce à ses sages avis, on put se tirer d'ennuis causés par la conduite déréglée du prince Ragio. Le peuple aimait le prince Florizel, et l'aurait bien voulu pour Roi ; mais, pendant longtemps, il garda ce voeu secret, tant il craignait que le méchant Prince ne tuât son favori…
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