Littérature Jeunesse

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  • Auteurs: Daniel Defoe
  • Auteurs: Tudor

Les inséparables raflent tout (Tudor) - Lecture et Loisir N° 23

2,95 €
Chers enfants, À moins que vous ne vouliez que je devienne complètement fou, je vous prie de cesser de m'écrire pour me demander comment rencontrer les INSÉPARABLES. Je suis comme vous : dès que je vois leur sigle, je me précipite, car je sais qu'ils ne sont pas loin ! La dernière fois que je les ai vus - c'était le jour même du Mai - ils cherchaient désespérément 800 kilos de papier et de carton, tout en essayant de donner un coup de main à un géant, à un père (de tortue, s'entend), à une inventrice et à un Inspecteur de Police à la recherche d'un « ami du silence » qui, à son tour, voulait… Bref, vous verrez en lisant le livre. Maintenant, pour revenir à moi, tout dépend de vous. Si vous avez des nouvelles des INSÉPARABLES, faites-moi signe. Merci. TUDOR P.S. : Pour ne pas réveiller à ma place mon ami le meunier (vous voyez ce que je veux dire : « Meunier, tu dors… »), voici ma photo. Comme ça, vous ne courrez pas le risque que le meunier, en se réveillant, renverse la farine qui, tombant sur la casquette du facteur, l'énerverait au point qu'il giflerait le fleuriste qui, à son tour, se vengerait sur le boulanger, etc., etc. Légende des déclinaisons  : JAUNE pour les romans étrangers pour la jeunesse ; BLEU pour les jeunes de 11 à 15 ans ; ROUGE pour les enfants de 6 à 11 ans ; VERT pour les récits scientifiques et historiques.

N° 614 - Robinson Crusoé - 2e partie (Daniel de Foe)

4,90 €
Extrait : J'étais maintenant dans la vingt-troisième année de ma résidence en cette île, et si accoutumé à y vivre que, sans ma continuelle crainte des sauvages, j'aurais été content d'y passer le reste de mes jours et, à la fin, de me coucher pour mourir, comme le vieux bouc dans la grotte. Mon perroquet vivait encore — je l'eus avec moi pendant vingt-six ans — et nous tenions ensemble de longues conversations familières, auxquelles je trouvais un grand charme. Mon chien aussi avait été pour moi un compagnon fidèle et cher pendant seize ans, au bout desquels il mourut de vieillesse. Pour mes chats, ils s'étaient tellement multipliés et étaient devenus si incommodes que, de peur qu'ils ne me dévorassent, j'avais été obligé d'en tuer plusieurs à coups de fusil ; les autres s'enfuirent dans les bois, où ils retournèrent à l'état sauvage, à l'exception de deux ou trois que je gardai près de moi…
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