Le Petit Livre

Parution hebdomadaire du Samedi, la collection « Le Petit Livre... » comprend 2006 titres parus de 1912 à 1958 — avec une interruption de 1941 à 1946. Les couvertures sont illustrées par Georges Vallée ou C. Sogny. Vingt-et-un titres sont écrits par Georges Simenon sous les pseudonymes de Jean Du Perry, Georges Sim, Georges-Martin Georges, Jacques Dersonne, Jean Dorsage,...

Collection Le Petit Livre - Éditions FERENCZI - Livres d'occasion

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  • Auteurs: Alex Peck
  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Roger Delvart

N° 1683 - Derrière les masques (Alex Peck)

4,15 €
Extrait : La foule recueillie priait avec une ferveur désespérée comme si la prière pouvait rendre le passé. Cette prière-là n'était pas une prière comme les autres. Elle ne sollicitait rien pour l'avenir. Il n'y avait plus d'avenir. Il n'y avait pas de force dans les bras découragés. Les vieux et les pauvres dominaient. C'était la messe des exilés. La jeune femme baissa les yeux. …

N° 1427 - Le rappel du passé (Roger Delvart)

2,92 €
Extrait : — Inutile d'insister, Maître. Le malade ne peut recevoir personne. Tel est l'ordre formel du docteur Morier. — Je comprends, Mademoiselle, et je m'incline devant un tel ordre, mais le motif qui excuse ma visite est grave. Malgré tous mes efforts mon client se refuse à parler ; c'est sa tactique depuis le geste malheureux… — Dites l'assassinat, Maître ! M. Desauriers a été à deux doigts de la mort et, encore, actuellement, le traumatisme dont il fut l'objet laisse planer les plus vives inquiétudes. Dieu sait s'il retrouvera jamais la santé et, surtout, la raison. — Comment, on redoute ? — Tout. Vous voyez que vos visites sont inutiles… — Mais ce serait affreux. Cet infortuné !… Un geste de l'infirmière éleva une sorte de protestation muette tandis que sa bouche esquissait une mine réprobatrice…

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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