Les livres roses pour la jeunesse

Les petits livres roses pour la jeunesse publiés par la Librairie Larousse, est une collection de 719 numéros commencée en 1909. Il paraît deux volumes par mois - 1er et 3e samedis -. Chaque livre est illustré « à profusion de charmantes gravures originales » . La publication prend fin en 1939.

Les livres roses pour la jeunesse - Librairie Larousse - Livres d'occasion

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  • Auteurs: Juliette Goublet
  • Auteurs: L. Veil
  • Collections: Les livres roses pour la jeunesse
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N° 576 - La Sicile en auto (Juliette Goublet)

4,90 €
Extrait : I - LA BELLE AFFICHE C'était dans les premiers jours de l'automne. Marie-Claude et Gilbert étaient tombés en arrêt devant l'un des bureaux du tourisme qui avoisinent la place de l'Opéra. C'est en vain que leur père essayait de les entraîner vers le boulevard des Italiens. Ils ne se lassaient pas d'admirer une affiche multicolore où l'on voyait, au bord d'une mer très bleue, un rivage planté d'orangers fleuris. Ne pouvant en distraire ses enfants, M. Dupont prit le parti de s'intéresser lui aussi à l'affiche. « Tu vois, papa, dit Marie-Claude, c'est un paysage de Sicile. Ne trouves-tu pas que ce pays paraît charmant ? » Cependant, M. Dupont lisait lui aussi les réclames inscrites à droite et à gauche : Visitez la Sicile, l'île du Soleil . « Au fait, dit-il, pourquoi n'irions-nous pas passer quelques jours là-bas ? Qu'en diriez-vous, mes enfants ? Par avion, nous serons vite rendus… »

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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