Les livres roses pour la jeunesse

Les petits livres roses pour la jeunesse publiés par la Librairie Larousse, est une collection de 719 numéros commencée en 1909. Il paraît deux volumes par mois - 1er et 3e samedis -. Chaque livre est illustré « à profusion de charmantes gravures originales » . La publication prend fin en 1939.

Les livres roses pour la jeunesse - Librairie Larousse - Livres d'occasion

Il y a 2 produits.

Affichage 1-2 de 2 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Les frères Grimm

N° 705 - Contes de fées d'après les frères Grimm

8,00 €
Au sommaire : - Le prince grenouille, - Le loup et les sept petits chevreaux, - Le courageux petit tailleur, - Les souliers de bal. Extrait : I - Le prince grenouille Au temps jadis, à cette époque heureuse où l'on avait tout ce qu'on désirait, vivait un roi qui avait des filles fort belles ; mais la plus jeune était si charmante que le soleil lui-même était émerveillé de sa beauté. Proche du château du roi s'étendait une sombre et triste forêt, au milieu de laquelle s'élevait un vieux tilleul et, au pied de ce tilleul, il y avait une source. Un jour, qu'il faisait très chaud, la fille du roi alla dns la forêt, s'assit au bord de cette fontaine rafraîchissante et se mit à jouer avec une balle en or qu'elle lançait en l'air et rattrapait pour s'amuser. Bientôt, cependant, la balle lui échappa, tomba sur l'herbe et roula dans l'eau. La princesse la suivit des yeux ; mais la balle disparut, car l'eau était si profonde qu'on ne pouvait en voir le fond. Alors la jeune fille se mit à pleurer amèrement. Bientôt elle entendit une voix qui disait : « Pourquoi pleures-tu, ô fille de roi ? Tes larmes attendriraient les pierres mêmes. »…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire