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  • Auteurs: Agatha Christie
  • Auteurs: Jacques Orbières
  • Auteurs: May d'Alençon
Bibi-Coucou reprend la route (May d'Alençon) - Bibliothèque Rouge et Or Dauphine N° 176
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N° 176 - Bibi-Coucou reprend la route (May d'Alençon)

12,00 €
Aussi long que maigre, grand nez et larges oreilles, à longueur d'année, qu'il pleuve ou qu'il vente, sous le soleil ou sous la neige, Bibi-Coucou arpente les jolies routes de Normandie, en compagnie de Goret-Rose, son gentil cochonnet. Il est bon et serviable, et cependant très malicieux, aussi le voyons-nous toujours en quête de quelque bonne farce à jouer, sous la forme d'un service à rendre à de braves gens, ou d'une bonne leçon à donner à quelque méchant homme… À partir de 7 ans.

Le train bleu (Agatha Christie) - Le livre de poche N° 1282

3,50 €
Dans un train où ne se côtoient que des gens aux comptes en banque bien fournis, qui fuient les brumes anglaises pour le soleil de la Côte d'Azur, la fille d'un homme d'affaires américain est assassinée. Le criminel aurait eu toutes les chances d'échapper à la justice si, pour son malheur, Hercule Poirot n'avait été là…

N° 401 - Annick et son corsaire (May d'Alençon)

4,56 €
Annick vit avec son grand-père, le douanier, et sa grand-mère, dans une petite maison perchée sur une falaise bretonne. Gaie et serviable, la fillette a beaucoup d'amis, mais Gildas, aussi vif et impétueux qu'elle est rêveuse et douce, est le seul à partager son grand secret. C'est surtout aux jours de tempête qu'Annick et Gildas songent aux 8o marins de l'Albatros, qui se perdit corps et biens dans les parages, voici quelque cent ans. Mais n'y avait-il pas un 81e marin, le commandant du bateau, dont on ne retrouva jamais la trace ?...

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…
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