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Il y a 4 produits.

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  • Auteurs: Alexandre Chatrian
  • Auteurs: Barbara Park
  • Auteurs: L. Veil

Suzie la chipie T1 : Mon tout premier jour d'école (Barbara Park)

2,56 €
C'est le grand jour ! Suzie va découvrir sa nouvelle classe. Mais avant, elle doit prendre le gros car… et ce gros car, elle le déteste. En plus, tout le monde marche sur ses chaussures. Alors, c'est décidé, Suzie ne rentrera pas chez elle ce soir. Même si elle doit se cacher la nuit sous le bureau ou dans le placard ! À partir de 7 ans.

L'ami Fritz (Emile Erckmann, Alexandre Chatrian)

7,96 €
« La tête froide, le ventre libre et les pieds au chaud », telle est la devise de Fritz Kobus, célibataire endurci, qui aime par-dessus tout le confort, la bonne chère et les parties de cartes avec ses amis du « Grand-Cerf ». Le vieux rabbin David Sichel, grand arrangeur de mariages, n'a pas réussi à tirer Fritz de sa tranquillité égoïste. L'entreprise, à vrai dire, nécessiterait l'intervention d'un magicien… ou d'une magicienne. On trouvera dans « L'ami Fritz » une peinture authentique de l'âme, des moeurs et des coutumes de la vieille Alsace.

Suzie la chipie T6 : L'anniversaire de cet idiot de Valentin (Barbara Park)

2,56 €
Quel idiot, ce Valentin ! Samedi, c'est son anniversaire et il refuse d'inviter Suzie. Trop injuste, toute la classe sera là ! Que faire ? Être très-très gentille pour qu'il change d'avis ? Voler l'invitation de Guillaume le froussard ? Laisser le directeur s'en mêler ? Une idée plus rigolote ? C'est sûr, Suzie va trouver ! À partir de 7 ans.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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