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Il y a 4 produits.

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  • Auteurs: Aliyah Morgenstern
  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Nicolas Malfin

Terminale ! Tout le monde descend (Susie et Aliyah Morgenstern)

2,48 €
Je regardais vivre ma fille avec perplexité. Il me semblait que notre silence devenait trop sombre, compliqué, pénible et dangereux. Alors j'ai proposé un duel. Nous avons choisi nos armes : le papier, le crayon - un affrontement muet, mais plein de bruit. Ce que nous n'arrivions pas à nous dire à voix haute est sorti plus facilement sur la feuille en nous servant de l'humour comme garde-fou. Par une suite de petits événements, de querelles sans grande continuité, sans véritable logique ni raison se déroule le drame du couple mère-fille. Peut-être avons-nous appris par ce jeu d'écriture à vivre notre amour ? De 11 à 13 ans.

Golden City T2 : Banks contre Banks (Nicolas Malfin, Daniel Pecqueur)

7,98 €
Accusé de meurtre, victime d'un complot et trahi par ses proches, Harrison Banks n'est plus que l'ombre de lui-même. Une ombre qui elle aussi, semble l'abandonner lorsque le jeune milliardaire de Golden City découvre qu'un usurpateur la remplacé à la tête de son empire.

Golden City T1 : Pilleurs d'épaves (Nicolas Malfin, Daniel Pecqueur)

12,00 €
Objet de rêves inaccessibles pour les plus démunis, Golden City se dresse majestueusement au-dessus des eaux, protégée de l'extérieur par une police ultra-violente. Mais lorsque l'épouse de Harrison Banks, président du plus puissant groupe pharmaceutique de la ville, disparait en mer, c'est une infernale machination qui se met brutalement en œuvre.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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