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Il y a 3 produits.

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  • Auteurs: Aliyah Morgenstern
  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Suzanne Carey

Terminale ! Tout le monde descend (Susie et Aliyah Morgenstern)

2,48 €
Je regardais vivre ma fille avec perplexité. Il me semblait que notre silence devenait trop sombre, compliqué, pénible et dangereux. Alors j'ai proposé un duel. Nous avons choisi nos armes : le papier, le crayon - un affrontement muet, mais plein de bruit. Ce que nous n'arrivions pas à nous dire à voix haute est sorti plus facilement sur la feuille en nous servant de l'humour comme garde-fou. Par une suite de petits événements, de querelles sans grande continuité, sans véritable logique ni raison se déroule le drame du couple mère-fille. Peut-être avons-nous appris par ce jeu d'écriture à vivre notre amour ? De 11 à 13 ans.

N° 381 - Le pirate d'un soir (Suzanne Carey)

2,15 €
Le carnaval battait son plein sur la baie de Tampa tout illuminée. Une fanfare jouait, les costumes colorés formaient un tableau vivant aux nuances infinies. Amanda sursauta en sentant une main agripper fortement la sienne. Se retournant brusquement, elle vit un pirate aux cheveux sombres et bouclés qui l'invitait à entrer dans la danse. Elle hésita un instant, puis décida qu'elle avait le droit de s'amuser un soir de fête. Son mari l'y aurait encouragée s'il était toujours vivant. Elle sourit à l'inconnu. Oui, aujourd'hui, elle se sentait de nouveau le goût de vivre. Et puis… le mystérieux pirate n'avait-il pas les mêmes yeux d'or scintillant que sa petite Mandy…?

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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