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  • Auteurs: Anne Civardi
  • Auteurs: Hady White
  • Auteurs: L. Veil

Going to School (Anne Civardi, Stephen Cartwright)

2,74 €
« This is the Peach family. Percy and Polly are twins. Tomorrow they are going to school for the first time. » This series introduces young children, in an amusing and friendly way, to situations they might find themselves in for the first time. Stephen Cartwright's gently humorous illustrations are full of things for children to look at, learn from and talk about, and the simple text will enable slightly older children to read the books for themselves.

N° 179 - Mademoiselle de Paris (Hady White) - Robert MONTGOMERY en couverture

3,50 €
Mademoiselle de Paris Roman d'amour inédit de Hady White Extrait : Le refrain chanté par des voix jeunes et fraîches, emplissait l'atelier de couture. Tout en chantant, les cousettes s'affairaient sous la vigilante direction de Mademoiselle Aurore, chef d'atelier. — Pressons-nous, Mesdemoiselles, la princesse de Liturie vient à onze heures pour l'essayage de sa robe du soir, ne l'oubliez pas. — On s'presse, Mademoiselle, on s'presse… — Elle en a de la chance, la première… Elle la verra, cette fameuse princesse de Liturie… fit Lulu, la petite arpète, avec envie. — Encore une poseuse, une pimbêche, maugréa la grande Laure… sous le prétexte d'incognito, elle se fait habilement une belle publicité… — Il n'est pas dit, protesta Simone. Elle est peut-être très simple au contraire et veut éviter de faire parler d'elle. — Bien entendu, elle a toutes les qualités « ta princesse », persifla Laure et tu te rengorges joliment depuis que tu es son sosie…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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