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  • Auteurs: Anne Hampson
  • Auteurs: Barbara Dunlop
  • Auteurs: L. Veil

N° 3269 - Un mari tout trouvé d'après le roman d'Anne Hampson

3,75 €
Extrait : Le front de Kim Rosswell se plissa alors qu'elle donnait un dernier coup de brosse à ses cheveux d'or pâle. Dendras devenait trop amoureux. Elle le considérait comme un enfant, pas encore en âge de se marier, et pourtant elle le soupçonnait fortement d'avoir l'intention de lui parler mariage ce soir. Ils s'étaient rencontrés dans des circonstances incroyables…

N° 1397 - Un piège délicieux (Barbara Dunlop)

2,56 €
Candice Hammond a toutes les raisons de se réjouir du mariage de son associée et amie, Jenna. Sauf une : Derek Reeves-Ducarter, le frère du marié. Elle étranglerait volontiers ce milliardaire prétentieux et trop sûr de lui, qui semble prendre un malin plaisir à critiquer tout ce qu’elle fait. Si elle est bien obligée de travailler sous ses ordres, puisqu’elle a été embauchée pour redécorer l’hôtel dont il est propriétaire, elle n’a aucune envie de le laisser lui gâcher la cérémonie. Et encore moins de passer toute une nuit à ses côtés ! C’est pourtant ce qui l’attend, puisque Candice se retrouve enfermée à l’étage de l’hôtel, seule avec Derek. Maudissant les futurs mariés qui leur ont joué ce mauvais tour, Candice n’a aucune idée de ce qu’elle va bien pouvoir faire pour supporter une telle promiscuité…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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