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  • Auteurs: Anne Hampson
  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Tracy Hughes

N° 140 - Renaissance (Tracy Hughes)

2,92 €
Voyage dans l'au-delà… Avocat de renom, toujours sur la brèche, Danny Johnson est victime, à trente six ans, d'un infarctus. Tandis qu'il est plongé dans un coma profond, il vit une expérience hors du corps et franchit l'étrange tunnel entre la vie et la mort, où l'attend son ami Jason, décédé cinq ans plus tôt. C'est le paradis même qui lui tend les bras de l'autre côté du tunnel, avec ses champs de fleurs, ses cascades sur les flancs des montagnes aux cimes enneigées, ses papillons aux couleurs iridescentes. Mais bientôt, deux représentants du Très-Haut viennent lui expliquer que, s'ils l'ont rappelé à eux, c'est qu'il méritait une leçon de vie. Comment a-t-il pu gâcher son existence jusque-là ? Le travail, toujours le travail, jamais la moindre distraction. Ils lui propose alors de lui accorder une seconde chance, à condition qu'il accepte d'ouvrir son coeur à l'amour. Danny promet, bien résolu à n'en rien faire, et surtout pressé de retourner travailler. Il ignore que son ami Jason a, de son côté, décidé d'intervenir depuis l'au-delà pour l'empêcher de retomber dans ses vieilles habitudes…

N° 3269 - Un mari tout trouvé d'après le roman d'Anne Hampson

3,75 €
Extrait : Le front de Kim Rosswell se plissa alors qu'elle donnait un dernier coup de brosse à ses cheveux d'or pâle. Dendras devenait trop amoureux. Elle le considérait comme un enfant, pas encore en âge de se marier, et pourtant elle le soupçonnait fortement d'avoir l'intention de lui parler mariage ce soir. Ils s'étaient rencontrés dans des circonstances incroyables…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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