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  • Auteurs: Alexyanne
  • Auteurs: Anne Wakefield Madden
  • Auteurs: Doris Andersen

Esclave des Haïdas (Doris Andersen) - Castor Poche N° 72

2,74 €
Kim-Ta, fils d'un chef de la tribu indienne des Salish, rêve de tuer le plus respecté et le plus puissant des animaux : l'ours noir. Aidé de son esclave personnel, il s'attaque à l'animal et le tue. Mais il a enfreint les règles et n'a pas respecté le rituel. Comme par châtiment de l'esprit en colère, les Haïdas attaquent le village de Salish et emmènent Kim-Ta et sa petite soeur loin de leur terre natale. Au cours de sa captivité chez les Haïdas, Kim-Ta découvre la dure réalité de l'esclavage mais il s'initie aussi aux riches coutunes de ce peuple de marins Mais peut-on oublier que l'on est né libre et fils de chef ?

N° 361 - Au péril de ma vie (Anne Wakefield Madden)

2,56 €
L'Angleterre divisée du XVIIe siècle. Les partisans de Cromwell viennent de battre le roi Charles II à Worcester et poursuivent des royalistes dans la campagne anglaise. Une jeune fille de dix-sept ans, Kerenza, qui appartient à une famille très royaliste, rencontre dans la forêt un séduisant fugitif. Rivalité entre Kerenza et sa meilleure amie, Lucy… Duel à fleurets mouchetés entre Humphrey qui voudrait épouser Kerenza et Stephen Thorne dont la bravoure et le mystère dont beaucoup rêver Kerenza.

N° 1544 - Rappelle-toi (Alexyanne)

3,05 €
Extrait : Depuis un peu plus d'une heure, le train n'était plus express, mais omnibus… Il ne faisait plus entendre son long sifflement tragique, au moment de brûler les gares ; les petites maisons, en bordure de la voie, ne s'effaçaient plus devant lui dans un vent de panique ; le bruit de ses roues n'avait plus cette note autoritaire et triomphante qui, depuis Paris, était revenue à un rythme régulier dans le chant de sa marche… Il ralentissait souvent, maintenant, le train naguère si orgueilleux de sa vitesse et de sa force. Il arrivait dans les petites gares en s'annonçant, en s'excusant presque de troubler la paix des champs environnants… Et il repartait avec des halètements poussifs. On aurait dit qu'il avait vieilli. Jeanine, debout dans le couloir, fumait la dernière cigarette avant l'arrivée à Parchy. Elle se faisait, au sujet du train, ces réflexions un peu puériles, et se demandait s'il en serait de même pour Philippe, lorsqu'il ne serait plus le brillant météore filant à toute vitesse dans le ciel de la gloire, faisant pâlir les étoiles plus anciennes, jetant ses feux aveuglants, projetant dans une ombre plus dense encore qu'avant son passage les petits feux qui essayaient de se survivre…
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