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  • Auteurs: Anne Wakefield Madden
  • Auteurs: E. de Riche
  • Auteurs: Enric Larreula
A la recherche du printemps (Enric Larreula) - Le croque-livres Casterman
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A la recherche du printemps (Enric Larreula)

2,45 €
Au temps où les animaux parlaient, il y eut une année où l'hiver dura si longtemps que l'on crut bien qu'il ne finirait jamais. Plusieurs mois s'étaient déjà écoulés et pourtant un froid mordant s'entêtait, jour après jour, semaine après semaine, à tourmenter bêtes et plantes de ses neiges et gelées. Les nuits étaient longues, interminables et glacées. Chaque matin, quand la lumière ténue du jour éclairait l'horizon, une nouvelle et épaisse couche de givre recouvrait les arbres, le sol et même le corps des malheureux animaux qui ne pouvaient trouver refuge dans une quelconque tanière. Personne dans la forêt n'avait le souvenir d'un hiver aussi long et aussi rigoureux. On aurait dit que le beau temps ne parvenait pas à revenir. Et c'est en vain que les animaux guettaient l'aube dans l'espoir d'une lumière plus matinale.

N° 361 - Au péril de ma vie (Anne Wakefield Madden)

2,56 €
L'Angleterre divisée du XVIIe siècle. Les partisans de Cromwell viennent de battre le roi Charles II à Worcester et poursuivent des royalistes dans la campagne anglaise. Une jeune fille de dix-sept ans, Kerenza, qui appartient à une famille très royaliste, rencontre dans la forêt un séduisant fugitif. Rivalité entre Kerenza et sa meilleure amie, Lucy… Duel à fleurets mouchetés entre Humphrey qui voudrait épouser Kerenza et Stephen Thorne dont la bravoure et le mystère dont beaucoup rêver Kerenza.

N° 935 - Pour gagner son coeur (E. de Riche)

3,05 €
Extrait : Une auto, conduite intérieure, franchit la porte des usines Martigny-Milchamp, à Suresnes, s'arrêta dans la cour, à côté du perron accédant aux bureaux de la direction et de l'administration. Un homme jeune, très élégant, vêtu d'un costume de sport de la meilleure coupe qui faisait valoir la sveltesse de sa taille, sauta à terre. Avisant un ouvrier qui, à quelques pas, s'activait auprès d'un châssis à peine carrossé, il s'approcha et, familier, dit : — Dédé, pendant que je monte chez M. Martigny, veux-tu jeter un coup d'oeil sur mon frein à pied, il y a un peu de jeu… L'interpellé releva à peine la tête. D'un coup de langue, il fit passer de la droite à la gauche de sa bouche un reste de cigarette collé à sa lèvre, répondit, maussade : — Mille regrets m'sieur le baron, peux pas quitter mon travail, adressez-vous à l'atelier de réparations…
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