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  • Auteurs: Alexyanne
  • Auteurs: Anne Wakefield Madden
  • Auteurs: Lisa Childs

N° 23 - Le voile du sortilège (Lisa Childs)

3,95 €
Depuis qu'Olivia, sa jeune épouse, a disparu un soir dans les eaux du lac des larmes, Damien Gray, homme d'affaires richissime et dernier descendant des sorciers indiens, est inconsolable. Brisé par le chagrin, il vit en reclus dans sa grande demeure victorienne, au coeur d'une forêt sombre où plane l'esprit des anciens chamans. Inlassablement, il erre sur la rive où Olivia s'est noyée sans que nul ne sache s'il s'agissait d'un accident, d'un meurtre ou d'un suicide. Mais un soir, à travers la brume, Damien croit distinguer au loin une silhouette diaphane. Aussitôt, sa raison vacille, son coeur s'emballe. Serait-ce l'ombre d'Olivia qu'il vient d'apercevoir ? Se pourrait-il que, portée par la force de son amour et la magie du lac, sa bien-aimée soit en train de renaître à la vie ?

N° 361 - Au péril de ma vie (Anne Wakefield Madden)

2,56 €
L'Angleterre divisée du XVIIe siècle. Les partisans de Cromwell viennent de battre le roi Charles II à Worcester et poursuivent des royalistes dans la campagne anglaise. Une jeune fille de dix-sept ans, Kerenza, qui appartient à une famille très royaliste, rencontre dans la forêt un séduisant fugitif. Rivalité entre Kerenza et sa meilleure amie, Lucy… Duel à fleurets mouchetés entre Humphrey qui voudrait épouser Kerenza et Stephen Thorne dont la bravoure et le mystère dont beaucoup rêver Kerenza.

N° 1544 - Rappelle-toi (Alexyanne)

3,05 €
Extrait : Depuis un peu plus d'une heure, le train n'était plus express, mais omnibus… Il ne faisait plus entendre son long sifflement tragique, au moment de brûler les gares ; les petites maisons, en bordure de la voie, ne s'effaçaient plus devant lui dans un vent de panique ; le bruit de ses roues n'avait plus cette note autoritaire et triomphante qui, depuis Paris, était revenue à un rythme régulier dans le chant de sa marche… Il ralentissait souvent, maintenant, le train naguère si orgueilleux de sa vitesse et de sa force. Il arrivait dans les petites gares en s'annonçant, en s'excusant presque de troubler la paix des champs environnants… Et il repartait avec des halètements poussifs. On aurait dit qu'il avait vieilli. Jeanine, debout dans le couloir, fumait la dernière cigarette avant l'arrivée à Parchy. Elle se faisait, au sujet du train, ces réflexions un peu puériles, et se demandait s'il en serait de même pour Philippe, lorsqu'il ne serait plus le brillant météore filant à toute vitesse dans le ciel de la gloire, faisant pâlir les étoiles plus anciennes, jetant ses feux aveuglants, projetant dans une ombre plus dense encore qu'avant son passage les petits feux qui essayaient de se survivre…
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