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  • Auteurs: Anne Wakefield Madden
  • Auteurs: Dixie Browning
  • Auteurs: Marcelle de Morthone

N° 361 - Au péril de ma vie (Anne Wakefield Madden)

2,56 €
L'Angleterre divisée du XVIIe siècle. Les partisans de Cromwell viennent de battre le roi Charles II à Worcester et poursuivent des royalistes dans la campagne anglaise. Une jeune fille de dix-sept ans, Kerenza, qui appartient à une famille très royaliste, rencontre dans la forêt un séduisant fugitif. Rivalité entre Kerenza et sa meilleure amie, Lucy… Duel à fleurets mouchetés entre Humphrey qui voudrait épouser Kerenza et Stephen Thorne dont la bravoure et le mystère dont beaucoup rêver Kerenza.

N° 576 - Quand la raison chavire (Dixie Browning)

2,06 €
De grâce, qu'on ne parle plus jamais de mariage à Daisy ! D'ailleurs, depuis qu'elle a divorcé, elle n'est plus la même femme. Indépendante et sûre d'elle, dotée d'une silhouette et d'une élégance de mannequin, elle sait éloigner d'un simple regard hautain les hommes les plus entreprenants. Quant aux autres, elle ne les voit même pas, car la gent masculine ne l'intéresse vraiment plus. Du moins a-t-elle voulu s'en persuader. Car lorsque surgit, un beau jour, sur une plage paradisiaque du Mexique, un mystérieux vacancier au teint pâle qui, loin de lui faire la cour, semble au contraire fort soucieux de garder ses distances, elle se sent soudain l'envie de commettre les pires folies...

N° 1162 - Le triomphe de la jeunesse (Marcelle de Morthone)

3,05 €
Extrait : Dans le silence du vaste bureau, la sonnerie grêle du Morse retentit tout à coup. Une adolescente, tapie dans l'angle de la fenêtre, sombre silhouette disparaissant presque derrière un journal déplié, se redressa. — Ne vous dérangez pas, mademoiselle Cardonne… Je suis debout… dit une voix. L'interpellée se laissa retomber sur la chaise basse et replia le journal d'un geste nerveux, en levant sur son interlocutrice de grands yeux que la pupille d'un noir de jais remplissait presque. Le visage, d'un ovale parfait avait naturellement cette couleur mate obtenue par les élégantes grâce au concours savant des parfumeurs à la mode et la bouche un peu grande, mais au pur dessin, était du rouge foncé des cerises bien mûres. L'expression enfantine de cette bouche contrastait singulièrement avec le regard, un peu regard de femme qui semblait voir loin dans les âmes…
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