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Il y a 7 produits.

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  • Auteurs: Anne Wakefield Madden
  • Auteurs: Jean d'Yvelise
  • Auteurs: Marie de Wailly

N° 361 - Au péril de ma vie (Anne Wakefield Madden)

2,56 €
L'Angleterre divisée du XVIIe siècle. Les partisans de Cromwell viennent de battre le roi Charles II à Worcester et poursuivent des royalistes dans la campagne anglaise. Une jeune fille de dix-sept ans, Kerenza, qui appartient à une famille très royaliste, rencontre dans la forêt un séduisant fugitif. Rivalité entre Kerenza et sa meilleure amie, Lucy… Duel à fleurets mouchetés entre Humphrey qui voudrait épouser Kerenza et Stephen Thorne dont la bravoure et le mystère dont beaucoup rêver Kerenza.

N° 1601 - Les amants maudits (Jean d'Yvelise)

5,50 €
Extrait : Il y avait bien près d'un an que le canon grondait sous le ciel rouge et or d'Espagne. Dans la folie guerrière d'une lutte fratricide impardonnable, tout ce que les artistes, au cours des siècles, avaient édifié de noble et de beau s'anéantissait sous des déluges de mitraille. Pour des idéologies dont chacune pouvait avoir sa raison d'être, deux factions se massacraient…

N° 42 - Vers l'amour... (Marie de Wailly)

6,00 €
Extrait : Une foule énorme se portait vers l'aérodrome du Bourget. Les taxis et les autocars, bondés à craquer, déversaient leurs grappes humaines au milieu de la cohue et la foule, heurtée, bousculée, riait sans une parole de mauvaise humeur, sans un geste de colère, heureuse, exubérante, ne songeant qu'à une seule chose : avancer… se bien placer… Un cordon de police, constitué par un régiment d'aviation, la repoussait doucement mais elle revenait à la charge avec tant de gaîté, tant d'entrain que les soldats souriants cédaient un peu de terrain et des voix perçantes de femmes criaient : — Bravo… vive l'armée !… A ces cris isolés s'en joignait un autre unanime, vibrant, formidable : — Vive Pierre Defresne !… C'était le héros attendu… l'as… l'enfant chéri du public…

N° 1525 - La faute d'Annette (Jean D'Yvelise)

3,56 €
Extrait : Solange, la petite laborantine, était partie depuis trois, quatre ou cinq heures : le docteur Philippe Adenis n'aurait sur le dire. Il était seul dans le modeste laboratoire qu'il entretenait à ses frais. Une éprouvette dans la main gauche, je jeune médecin surveillait une réaction. Tout l'après-midi il avait donné ses consultations à l'hôpital des Enfants-Malades…

N° 1655 - Après les ténèbres (Jean d'Yvelise)

6,00 €
Extrait : C'était un soir désolé d'octobre. On entendait tonner le vent sur la lande et la sourde et lointaine canonnade de la mer. Par instants, une violente rafale déchirait la nue ; alors, dans la vaste plaie de l'ouverture, on percevait le ciel presque blanc, plein de lune, mais sans étoiles. Puis, un nuage énorme, poussé à une vitesse vertigineuse, bouchait tout et la nuit redevenait épaisse…

N° 1532 - Le redoutable amour (Jean d'Yvelise)

3,74 €
c La plus importante d'entre elles, composée d'une soixantaine de terrassiers, avait pour mission de percer un souterrain dans les premiers contreforts du versant non de l'Atlas. Elle était dirigée par un tout jeune ingénieur de vingt-six ans, Jacques de la Ferrière, sorti major, cinq ans pus tôt, de l'Ecole des Ponts. C'était un très beau garçon, au regard luisant d'énergie, au menton volontaire, au front haut surmonté d'une brune et abondante toison. Depuis plus de trois mois sur la brèche, il passait une partie de ses nuits à faire des calculs, à dessiner les détails du vaste plan d'ensemble qu'on lui avait donné, et les journées entières à surveiller l'exécution de ce qu'il avait conçu…

N° 22 - Au coeur profond de la forêt (Marie de Wailly)

9,00 €
Extrait préface : Il y avait une fois, une immense étendue boisée qu'on appelait : la Forêt d'Argent. La brise la plus légère faisait frissonner le feuillage de ses trembles ; ses saules au duvet pâle et soyeux se miraient dans l'eau limpide des sources et ses bouleaux, à la blanche écorce brillante, élevaient leur tête altière vers le ciel. La Forêt d'Argent couvrait tout un coteau montant de la plaine et retournant à la vallée. A son sommet le plus escarpé se dressaient de très hauts murs de pierre grise que la végétation grimpante et luxuriante des grands bois avait pris d'assaut. Leur air rébarbatif se cachait derrière le sourire vert des feuilles et l'appel timide des fleurs. Si, trompé par leur joliesse mutine et la douceur grave de leur vêtement, on voulait connaître leur secret, on se heurtait à une porte aux épaisses ferrures, aux panneaux hérissés de clous, à la lourde serrure. Un judas minuscule permettait de parlementer de l'intérieur. Une chaîne, de la grosseur du poignet, pendait à droite de la porte dans une niche de pierre encapuchonnée de verdure. Cette chaîne était attachée à une cloche de bronze dont chaque vibration réveillait les échos endormis de la Forêt d'Argent…
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