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  • Auteurs: Alix André
  • Auteurs: Bernard Eschasseriaux
  • Auteurs: L. Veil

Ces diables d'anges (Bernard Eschasseriaux)

6,92 €
Ces diables d'anges (Bernard Eschasseriaux) Pour Martine, c'était l'occasion de devenir la cover-girl n° 1… Extrait : Sortant de chez Pigier dans la volée de filles dont les cours prenaient fin à dix-sept heures, Martine prit son amie Marion par un bras et lui dit : — Viens avec moi. Je vais te montrer une robe exposée rue de Rivoli dont je suis folle. Marion soupira, les yeux au ciel : — Et ce ne sera jamais que la huitième depuis ce matin !…

L'héritage des Dunham (Alix André)

4,72 €
Nièce et héritière du vieux duc de Morland, Anne Grant vit en Angleterre auprès de celui-ci et de sa soeur, lady Sheila. Il y a de nombreuses années que le véritable héritier du duc, son neveu, lord Walter Dunham, une tête brûlée, s'embarqua pour l'Inde. On n'a jamais plus entendu parler de lui. Et voici que, soudain, lord Walter vient reprendre sa place. Anne, dépossédée et humiliée, n'a plus qu'à partir. Hélas ! c'est déjà trop tard, l'amour est né entre eux. Mais une femme surgit… celle de Walter, la véritable lady Dunham, épousée en Inde. Cette fois, la douleur dépasserait les forces d'Anne si lady Sheila ne se trouvait pas près d'elle, la douce et secrète lady Sheila, qui a eu sa vie brisée à cause de l'autorité de son frère, et qui connaît bien des secrets… Déteint-elle celui qui donnera à Anne et Walter le bonheur qu'ils méritent ?

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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