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  • Auteurs: Capitaine Poidloue
  • Auteurs: Christopher Pike
  • Auteurs: Henri Mansvic

N° 224 - Le capitaine du « Lanvéoc » par le Capitaine de vaisseau Poidloue

8,00 €
12 Gravures Extrait : LE DÉPART DE CHERBOURG - Ce soir-là le capitaine Kerfabiec fumait tranquillement sa pipe dans son petit jardin. Il habitait une coquette maison dans un village situé sur la côte de Bretagne, et il s'y reposait de temps en temps de ses voyages au long cours. En sa qualité de capitaine de commerce, il allait porter des marchandises enterre lointaine sur son vapeur, la Marie-Rose . Et il rapportait les produits les plus variés : soies du Japon, coton d'Amérique, chevaux de l'Argentine, blé du Canada ou de Russie, boeufs de Madagascar, etc. C'est dire qu'il allait dans tous les ports du monde. Aussi, quels beaux récits il faisait à ses deux jeunes fils, Charles et Jacques, et à leur mère, quand il se trouvait dansa petite maison de Bretagne, comme ce soir-là, au milieu de sa chère famille…

Dernier acte (Christopher Pike)

2,15 €
Mélanie n'est pas à Careville depuis longtemps, elle ne connaît personne et passe ses soirées à étudier. Aussi, quand elle décroche un rôle dans la pièce que monte la troupe du lycée, elle est folle de joie. Désormais, elle a des amis. Marc, en particulier. Mais pourquoi est-il si taciturne ? Et Rindy… Quelle fille bizarre ! Peu à peu, Mélanie comprend que tous partagent un terrible secret. Que s'est-il passé l'année précédente ? Et qui est ce mystérieux Clyde dont personne ne veut parler ? Arrive enfin le jour J : Mélanie est sur scène. Suivant le scénario, elle vise Rindy et tire. Sa partenaire s'écroule, une tache rouge apparaît sur sa chemise. Rindy ne joue plus : elle est morte. Et Mélanie se retrouve menottes aux poignets.

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…
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