Accueil

Accueil

Il y a 4 produits.

Affichage 1-4 de 4 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Capitaine Poidloue
  • Auteurs: Daniel Pecqueur
  • Auteurs: Henri Mansvic

N° 224 - Le capitaine du « Lanvéoc » par le Capitaine de vaisseau Poidloue

8,00 €
12 Gravures Extrait : LE DÉPART DE CHERBOURG - Ce soir-là le capitaine Kerfabiec fumait tranquillement sa pipe dans son petit jardin. Il habitait une coquette maison dans un village situé sur la côte de Bretagne, et il s'y reposait de temps en temps de ses voyages au long cours. En sa qualité de capitaine de commerce, il allait porter des marchandises enterre lointaine sur son vapeur, la Marie-Rose . Et il rapportait les produits les plus variés : soies du Japon, coton d'Amérique, chevaux de l'Argentine, blé du Canada ou de Russie, boeufs de Madagascar, etc. C'est dire qu'il allait dans tous les ports du monde. Aussi, quels beaux récits il faisait à ses deux jeunes fils, Charles et Jacques, et à leur mère, quand il se trouvait dansa petite maison de Bretagne, comme ce soir-là, au milieu de sa chère famille…

Golden City T2 : Banks contre Banks (Nicolas Malfin, Daniel Pecqueur)

7,98 €
Accusé de meurtre, victime d'un complot et trahi par ses proches, Harrison Banks n'est plus que l'ombre de lui-même. Une ombre qui elle aussi, semble l'abandonner lorsque le jeune milliardaire de Golden City découvre qu'un usurpateur la remplacé à la tête de son empire.

Golden City T1 : Pilleurs d'épaves (Nicolas Malfin, Daniel Pecqueur)

12,00 €
Objet de rêves inaccessibles pour les plus démunis, Golden City se dresse majestueusement au-dessus des eaux, protégée de l'extérieur par une police ultra-violente. Mais lorsque l'épouse de Harrison Banks, président du plus puissant groupe pharmaceutique de la ville, disparait en mer, c'est une infernale machination qui se met brutalement en œuvre.

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire