Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Capitaine Poidloue
  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: Louise Gravise

N° 224 - Le capitaine du « Lanvéoc » par le Capitaine de vaisseau Poidloue

8,00 €
12 Gravures Extrait : LE DÉPART DE CHERBOURG - Ce soir-là le capitaine Kerfabiec fumait tranquillement sa pipe dans son petit jardin. Il habitait une coquette maison dans un village situé sur la côte de Bretagne, et il s'y reposait de temps en temps de ses voyages au long cours. En sa qualité de capitaine de commerce, il allait porter des marchandises enterre lointaine sur son vapeur, la Marie-Rose . Et il rapportait les produits les plus variés : soies du Japon, coton d'Amérique, chevaux de l'Argentine, blé du Canada ou de Russie, boeufs de Madagascar, etc. C'est dire qu'il allait dans tous les ports du monde. Aussi, quels beaux récits il faisait à ses deux jeunes fils, Charles et Jacques, et à leur mère, quand il se trouvait dansa petite maison de Bretagne, comme ce soir-là, au milieu de sa chère famille…

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…

N° 1698 - Quand l'amour veut vivre (Louise Gravise)

3,05 €
Extrait : — Le malade est perdu... Jean Lallier redressa sa haute taille, et foudroya du regard son assistant. — Je le sauverai ! Si vous flanchez, Lausac, allez ailleurs ! L'opération était assurément particulièrement délicate. Un massage du coeur avait déjà paré à une première alerte. Le patient était âgé et les réactions de l'organisme trop lentes. Le Dr Lallier l'avait prévu. Mais il fallait tenter cette intervention. C'était cela ou la mort inévitable. En toute conscience, il avait choisi. — Le coeur faiblit ! annonça l'anesthésiste, de sa voix calme, impersonnelle, comme perdue dans le silence blanc de la salle. Lallier sentait la sueur lui perler le long des tempes et tomber goutte à goutte dans son col, dans son masque… Un flot de sang jaillit d'une veine qui venait de céder sous une pince. Lallier leva les yeux et surprit un sourire narquois sur le visage de l'interne ; un jeune homme qui croyait tout savoir et se targuait de faire des diagnostics infaillibles…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire